L'avis de tempête dans la sidérurgie est brutal. «La situation s'est détériorée au cours des deux derniers mois», a expliqué hier Lakshmi Mittal, président-directeur général du groupe ArcelorMittal. La crise est sévère si l'on en juge par les chiffres annoncés par le numéro un mondial du secteur. En hausse de 78% au troisième trimestre, son résultat (plus précisément son excédent brut d'exploitation) sera carrément divisé par trois au quatrième trimestre.
Pour faire face à l'effondrement de la demande d'acier dans le monde, ArcelorMittal n'a d'autre choix que de réduire la voilure. Au quatrième trimestre, le sidérurgiste va diminuer l'ensemble de sa production de 35%, soit deux fois plus que la baisse de 15% annoncée en octobre. L'Europe, où la situation est généralement «plus difficile» qu'ailleurs, est particulièrement touchée.
En Belgique et en France, la production et la transformation d'acier inoxydable seront divisées par deux. Mais l'Inox est une activité marginale dans l'Hexagone où les grands sites du groupe, Fos, Dunkerque et Gandrange, sont spécialisés dans l'acier plat. Ces sites verront leur production diminuer de 25% à 28% seulement, a précisé hier Michel Wurth, membre de la direction générale, au Figaro. Cette réduction de voilure entre dans le plan d'arrêt d'une douzaine de hauts-fourneaux européens annoncé il y a quelques jours.
ArcelorMittal a déjà incité les salariés de ces sites à solder leurs vacances et a cessé de renouveler les programmes de sous-traitance. Nous espérons «passer le cap difficile de cette façon» et éviter les suppressions d'emplois, explique Michel Wurth.
Le groupe a aussi durci, de 4 à 5 milliards de dollars en cinq ans, ses plans de réduction de frais généraux. Enfin, il entend alléger sa dette nette de 10 milliards de dollars d'ici à fin 2009 afin de «renforcer sa flexibilité financière».
Mesures temporaires
Face aux baisses de stocks des clients, dans l'automobile notamment, «nous devons effectuer lesréductions de production appropriées» pour «rééquilibrer l'offre et la demande», a expliqué hier Lakshmi Mittal. Toutefois, le «déstockage» devrait s'arrêter «début 2009», ce qui permettra alors de réaugmenter la production, a complété son fils Aditya Mittal, directeur financier du groupe.
Il ne s'agit par conséquent que de mesures «temporaires». «Aucune fermeture définitive d'installations en Europe» n'est prévue, rappelle Michel Wurth. Surtout, aucun des investissements programmés par le groupe, en forte croissance depuis la fusion en 2006 d'Arcelor et de Mittal Steel, n'est abandonné. «ArcelorMittal n'a pas changé ses plans à long terme», insistent les dirigeants. Reste à convaincre les marchés. Le titre a cédé 15,4% hier à Paris à 20,71 euros.
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La rédaction de LE FIGARO.fr et à l'auteur Armelle Bohineust netconnaissances.fr.gd
Le japonais Fujitsu a annoncé aujourd'hui le rachat pour 450 millions d'euros des 50% de parts que le groupe Siemens détient dans leur co-entreprise d'informatique personnelle Fujitsu-Siemens Computers. Cette dernière avait été fondée en 1999 dans l'optique d'arroser d'ordinateurs les marchés européen, africains et du Moyen-Orient (EMEA). Au terme de l'opération qui devrait être bouclée au 1er avril 2009, Fujitsu-Siemens Computers sera à 100% une filiale de Fujitsu. Aucun changement de nom ne semble toutefois prévu.
Par ce rachat, Fujitsu compte accroître ses ventes mondiales d'ordinateurs. Kuniaki Nozoe, président de la société japonaise, se félicite « d'hériter d'une très solide base de clients et d'une capacité de recherche et développement ». Le groupe n'envisagerait pas de supprimer d'emplois. Siemens confirme pour sa part sa stratégie consistant à se recentrer sur les métiers de l'énergie, de l'électricité et de la santé en se séparant de ses filiales non stratégiques (comme la téléphonie sans-fil). Le groupe allemand compte dégager de cette opération un bénéfice comptable de 310 millions d'euros.
En dépit d'une offre convaincante, Fujitsu-Siemens Computers va devoir prendre des mesures pour reprendre la croissance (l'entreprise enregistrait récemment un chiffre d'affaire en baisse d'environ 5%) et dépasser les 5% de parts de marché.
Business - Nouvelle rumeur de rachat de Yahoo : Jonathan Miller, l'ex-dirigeant d'AOL, aurait pris contact avec des fonds d’investissements pour faire une offre de rachat du portail d'environ 30 milliards de dollars, selon le Wall Street Journal.
Selon le Wall Street Journal du 2 décembre, Jonathan Miller, aujourd'hui codirigeant avec Ross Levinsohn, ex-patron de Fox Interactive, du fonds de capital-risque Velocity, serait en contact depuis plusieurs mois avec divers investisseurs privés et des fonds souverains en vue de lancer une offre de rachat de tout ou d'une part du capital de Yahoo.
Citant des personnes proches du dossier, le quotidien américain affirme que Jonathan Miller envisage de proposer entre 20 à 22 dollars par action Yahoo. Cette offre valoriserait l'ensemble de la société entre 28 et 30 milliards de dollars. Soit près de 15 milliards de moins que l'offre de rachat lancée en février dernier par Microsoft, qui proposait alors 31 dollars par action, soit une valorisation de 44,6 milliards de dollars.
En mai, Microsoft avait revalorisé son offre à 47,5 milliards de dollars, puis s'était allié avec Carl Icahn, l'actionnaire le plus remuant de Yahoo, proposant une offre encore plus alléchante. Mais Yahoo a toujours opposé une fin de non-recevoir à son concurrent, exigeant au minimum 37 dollars par action.
Les spéculations s'enchaînent sur le sort de Yahoo
Depuis le rejet de l'OPA hostile de Microsoft, Yahoo est l'objet de nombreuses spéculations. Le week-end dernier, le Times de Londres annonçait que Microsoft était prêt à investir 20 milliards de dollars dans un tour de table avec d'autres investisseurs privés, parmi lesquels... Jonathan Miller et Ross Levinsohn, pour racheter le moteur de recherche de Yahoo. Des informations démenties par les acteurs concernés.
Si elle n'a pas encore été officiellement démentie, l'information du Wall Street Journal est déjà largement mise en doute par la presse américaine qui souligne, à l'image du Los Angeles Times, que Jonathan Miller est lié à AOL par un accord de non-concurrence jusqu'en mars 2009. Ce qui est certain, c'est que Yahoo se cherche un nouveau P-DG depuis le départ de Jerry Yang en novembre, et que Miller et Levinsohn font partie des candidats potentiels. Ils auraient, dans ce cadre, rencontré le comité de management de la société.
Ce qui est également certain, c'est que les deux protagonistes cherchent, par ailleurs, à lever 300 millions de dollars, indique le Los Angeles Times, pour renflouer leur propre fonds, Velocity.
Le conseil d'administration de Yahoo, qui veut remplacer Jerry Yang avant 2009, pourrait conclure dès la semaine prochaine la fusion avec AOL.
Le président du board de Yahoo, Roy Bostock, a évoqué une fusion de sa société avec AOL dès la semaine prochaine, qu'un nouveau CEO ait déjà été nommé ou non. Naturellement, le dernier élément encore en discussion est le prix. Yahoo a longtemps désiré ne laisser à Time Warner que 20 % de la société issue de la fusion, alors que le groupe en réclamait le tiers. Ce qui correspond aujourd'hui à un prix de vente de 3 milliards de dollars dans le premier cas et de 5 milliards dans le second.
Côté Yahoo, les négociations seraient toujours menées par Jerry Yang, qui restera au conseil d'administration lorsqu'il quittera ses fonctions de CEO. Les experts ne s'attendent par conséquent pas à une décision rapide de la part de celui qui a fait durer pendant des mois ses pourparlers avec Microsoft comme avec AOL.
Par ailleurs, selon des propos prêtés à Roy Bostock, la nomination d'un nouveau CEO devrait intervenir d'ici la fin de l'année. Aucun comité officiel n'a été désigné pour mettre la main sur la perle rare mais un groupe informel - composé de membres du conseil d'administration - travaille sur le sujet avec le cabinet Heidrick & Struggles. Il aurait dressé une liste de six critères à remplir par le futur patron de Yahoo, comprenant une expérience approfondie en tant que CEO, des compétences en matière de publicité et de médias, une expérience des fusions-acquisitions et des compétences en stratégie.
Actuellement, le conseil d'administration pencherait pour l'un des siens, comme l'ancien CEO de Nextel John Chapple, l'ancien dirigeant de Viacom et Universal Studios, Frank Biondi ou encore Maggie Wilderotter, ancienne Senior VP de AT&T et Microsoft. Une solution qui présenterait l'avantage d'un PDG déjà au fait des négociations avec AOL.
Etant donnée la difficulté à trouver un candidat aux compétences aussi larges, il serait enfin question de nommer, en même temps que le CEO, un numéro 2 de Yahoo, afin que ce binôme se répartisse les tâches : les médias pour l'un, le produit et la technologie pour l'autre.
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La rédaction JDN Journal Du Net pour cette article netconnaissances.fr.gd
Publié par Infested Grunt dans la catégorie Actualité/Internet le 04/12/2008
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La fondation Stanton a fait un chèque de 890 000$ à la fondation Wikimedia, la fondation des Wikipedia.
La fondation Stanton espère que Wikimedia créera des outils permettant d'attirer les internautes intimidé par Internet pour leur permettre de surmonter leurs réticences pour contribuer à l'enrichissement de l'encyclopédie. Wikimedia a indiqué que une de ces priorités consiste à attirer les personnes qui ont la connaissance dans leur domaine mais dont la pratique de l'informatique est débutante.
La Fondation Stanton est la fondation philanthropique de l'ancien PDG du network américain CBS, Frank Stanton. Il a été l'initiateur des débats télévisés lors des présidentielles aux Etats-Unis. Il a participé à de nombreux combats pour la liberté d'expression dont sa plus grande oeuvre fut la dénonciation d'une campagne de propagande du Pentagone pour promouvoir la guerre du Vietnam sous le titre "CBS Reports: The selling of Pentagone" (Reportage CBS: La vente du Pentagone). Il fut ensuite nommé président de la Croix Rouge américaine ainsi qu' administrateur du musée de la TV et de la Radio (Broadcast Museum).
Nos amples remerciements à : Echos du Net
& Infested Grunt pour cette article netconnaissances.fr.gd
Dailymotion a lancé lundi un portail vidéo dédié aux enfants, baptisé DM Kids, qui offre en accès gratuit des centaines d'heures de programme aux contenus ludiques et éducatifs, a annoncé la société de partage de vidéos dans un communiqué.
Conçu comme un site indépendant de la plateforme dailymotion.com, DM Kids (kids.dailymotion.com) propose des contenus ludiques et éducatifs (dessins animés, documentaires, clips de musique) dans un environnement "sécurisé et adapté à un jeune public", a indiqué Martin Rogard, directeur France de Dailymotion.
Les enfants ne pourront pas poster des vidéos ou des commentaires sur le site, a précisé M. Rogard, interrogé par l'AFP.
"Nous avons décelé une audience, les enfants visitant déjà le site dailymotion.com. Nous avons décidé de créer une offre dédiée", a-t-il expliqué.
DM Kids a démarré avec la diffusion de 300 heures de vidéos sélectionnées par ses équipes. Pour cela, Dailymotion a développé ses partenariats avec de nombreuses sociétés actives dans le domaine des programmes jeunesse (diffuseurs, distributeurs, éditeurs, labels de musique, producteurs) et avec des institutionnels (CNES, Cité des Sciences, Futuroscope).
Le portail diffuse entre autres un journal télévisé quotidien pour les enfants, réalisé par la rédaction de Play Bac, éditeur de Mon Quotidien.
Le site propose une navigation simple au sein d'espaces dédiés à deux tranches d'âge (3-6 ans, 7 ans et plus). Les enfants peuvent cliquer sur des vidéos ou utiliser des playlists, qui permettent l'enchaînement automatique des vidéos.
Le site sera financé par la publicité, a précisé M. Rogard. Il fonctionnera sur le principe du partage des recettes publicitaires avec les partenaires de la société.
Dailymotion comptait plus de 38 millions de visiteurs uniques en octobre, selon comScore.
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La rédaction de LE MONDE.fr / LE DESK pour cet article netconnaissances.fr.gd
Technologie - Google a inclus dans Gmail un plug-in qui permet de consulter, archiver et composer des e-mails sans accès internet. Une fois la connexion disponible, Gmail synchronise automatiquement les nouveaux courriers avec ses serveurs.
Même si les absences de connexion à internet se font de plus en plus rares, il reste encore de nombreux moments où l'on peut se retrouver sans réseau. Partant de ce constat, Google a inclus dans son client de messagerie Gmail une option pour travailler hors ligne, consulter et composer des e-mails dans son navigateur web.
Pour en bénéficier, l'utilisateur doit d'abord installer l'extension Google Gears pour Firefox et Internet Explorer sur son PC sous Windows, qui sera utilisé en mode Offline. Ce plug-in existe aussi pour Windows Mobile, Mac OS (pour Firefox et Safari), Linux et Android.
Une option réservée aux Anglais et aux Américains
Il faut ensuite paramétrer son compte Gmail en ligne pour lui indiquer la possibilité de travailler hors connexion. Quand cela sera le cas, le webmail de Google constatera automatiquement la perte de connexion et passera automatiquement en mode offline (avec un archivage sur le disque dur du PC). La reprise de connexion entraînera une synchronisation avec ses serveurs pour envoyer les e-mails composés pendant la période hors ligne.
Reste que pour le moment, cette nouveauté n'est proposée qu'aux utilisateurs de comptes Gmail en anglais (britanique ou américain), qui ont donc activé ce paramètre à partir d'une adresse IP délivrée par un FAI anglais ou américain.
Pour les comptes Gmail en français, il faudra encore patienter un peu : une représentante de Google joint par ZDNet.fr a indiqué que « cela allait se faire prochainement ».
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ZDNet.fr et à l'auteur Vincent Birebent netconnaissances.fr.gd
Samedi, de nombreux internautes ont eu la surprise de voir s'afficher un message d'alerte lorsqu'ils essayaient de se connecter à un site depuis les pages de résultat du numéro un mondial des moteurs de recherche, Google. « Ce site risque d'endommager votre ordinateur », pouvait-on lire, quel que soit le lien suivi par l'internaute. Ce bug, dont les répercussions ont été constatées dans le monde entier, a suscité de nombreuses interrogations. Google aurait-il été victime d'une attaque ?
Quelques heures après l'incident, sensible de 15h30 à 16h30 samedi, heure de Paris, le moteur de recherche a finalement publié sur son blog officiel un message d'excuses, en forme de mea culpa. « Que s'est il passé ? Très simplement, une erreur humaine », y explique Marissa Mayer, vice présidente produits de recherche chez Google.
Afin de protéger les internautes des logiciels malveillants ou des opérations de type phishing, Google maintient une « liste noire » de sites potentiellement dangereux, dont il bloque l'accès en affichant le message que beaucoup ont découvert samedi.
« Nous alimentons cette liste par des méthodes manuelles et automatisées », explique Marissa Mayer. Samedi, le caractère « / », que l'on retrouve dans toute adresse utilisée sur Internet, a été ajouté à cette liste noire. Dès cet instant, tout site Web, aussi légitime qu'il soit, a été bloqué par le moteur de recherche qui, à la place, redirigeait l'internaute vers le site stopbadware.org.
Soutenue par le Berkman Center of Internet and Society, la faculté de droit de Harvard mais aussi des industriels comme Google, Sun ou Lenovo, l'intiative StopBadware est en charge du maintien de listes noires de ce type.
A priori, l'incident semble n'avoir eu qu'un impact limité, même si de nombreux éditeurs de sites ont logiquement constaté, durant cette période, une nette diminution du trafic. Environ 70% des recherches effectuées sur Internet au niveau mondial transitent en effet par les serveurs de Google. Le moteur présente donc ses excuses aux internautes, ainsi qu'aux éditeurs, et affirme qu'il prendra les mesures nécessaires pour qu'un accident de ce type ne se reproduise pas.
Nos amples remerciements à :
NetEco.com et à l'auteur Alexandre Laurent netconnaissances.fr.gd
De l'Afghanistan à l'Irak en passant par la Russie, Barack Obama héritera d'une lourde situation internationale. Mais sa victoire a suscité un immense espoir dans le monde.
Lorsque, le 20 janvier prochain, Barack Obama arrivera à la Maison-Blanche, les opinions publiques et les dirigeants politiques dans le monde entier attendront beaucoup de lui. Sans doute beaucoup trop. Car il devra faire face à un très lourd héritage que lui laissera son prédécesseur, George W. Bush, et à une situation internationale explosive.
La liste de ses défis, vraisemblablement les plus lourds à porter depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale pour le leader de ce qui est toujours, même blessée par la crise économique et la montée des pays émergents comme la Chine et l'Inde, la plus grande puissance économique et militaire du monde, est longue : deux guerres inachevées en Irak et en Afghanistan, une dangereuse situation avec l'Iran, une menace toujours présente de prolifération nucléaire, un Proche-Orient toujours meurtri par le conflit israélo-palestinien sans oublier les nouvelles tensions Est-Ouest avec la Russie et les autres crises de la planète.
Face à ces multiples défis, jamais le monde, depuis les années 1940, n'a autant espéré d'un président américain, après huit années d'une présidence Bush.
Nouveau défi russe
L'Europe, d'abord. L'espoir d'une « révolution » dans les relations internationales est telle que les 27 pays européens ont, avant même le scrutin du 4 novembre, préparé un document qui sera adressé dans quelques jours au président élu, l'appelant à refonder le partenariat transatlantique. Ce texte invite les Etats-Unis à prendre en compte le rôle accru de l'Union européenne dans la gestion des crises, comme ce fut déjà le cas lors de l'invasion russe de l'Ossétie du Sud après les attaques cet été de Tbilissi. Quelques heures seulement après l'annonce des résultats des élections américaines, la Russie a lancé par la bouche de son président, Dimitri Medvedev, un nouveau défi à l'Amérique : celui de déployer des missiles dans l'enclave de Kaliningrad, près de la frontière polonaise. Cette menace qui vise à répondre à l'ex- tension par les Etats-Unis d'un bouclier antimissiles en Pologne et en République tchèque, rappelle les temps de la guerre froide et la crise des missiles soviétiques à Cuba de 1962 qui fut l'une des plus difficiles à gérer pour le président démocrate John F. Kennedy.
Militairement, ce sont les deux guerres d'Irak et d'Afghanistan qui seront au centre des préoccupations du futur président américain, même si, à la différence des élections de 2004, elles ont faiblement compté dans le choix des électeurs.
En Irak, l'heure est plutôt au retrait des troupes américaines, alors que la situation sur le terrain s'est améliorée. Le futur 44e président des Etats-Unis a promis un retrait graduel en seize mois, mais en accord avec Bagdad. Son objectif est de renforcer la présence militaire américaine en Afghanistan, qui est à ses yeux le véritable champ de bataille contre le terrorisme international. Mais ce renforcement se fera aussi par un appel à une présence renforcée des alliés. Ce qui risque de se heurter à des réticences de la part de les grands pays de l'Union européenne.
Face à l'Iran et à ses ambitions nucléaires, le nouvel occupant de la Maison-Blanche sera aussi sur une corde raide, pris entre ses promesses de fermeté et ses suggestions d'une éventuelle ouverture d'un « dialogue sans précondition ».
Non seulement il risque de prendre à revers la diplomatie européenne, qui s'est chargée, en vain, des négociations avec l'Iran, mais aussi, en traitant de façon « unilatérale » la crise, de tourner le dos au voeu de voir l'Amérique redevenir le centre du multilatéralisme. La lune de miel entre Obama et le monde risque bien d'être de courte durée.
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La rédaction de les echos.fr et à l'auteur JACQUES HUBERT-RODIER netconnaissances.fr.gd
"America is back"
Confrontés au casse-tête des horaires de bouclage, les journaux européens n'avaient pu totalement célébrer la victoire de Barack Obama mercredi matin. Ils le font donc encore jeudi, à l'image de Libération, qui estime que "l'avenir a changé de camp", passant de celui des conservateurs aux progressistes. Le Parisien estime lui qu'"un vent nouveau souffle de Washington" et que "le monde ne doit pas bouder son plaisir". Le quotidien économique britannique The Financial Times (payant) salue la victoire "remarquable" et "historique" remportée par un homme politique "comme on en voit un par génération". Les Echos décrivent une Amérique "en état de grâce" et notent "l'espoir et le défi" que constituent le scrutin de mardi. The Guardian, La Tribune et El Pais, enfin, se réjouissent du retour de l'Amérique dans le concert des nations sous des titres très proches: "Welcome back", "America is back" et "L'Amérique va redevenir l'Amérique".
La tâche d'Obama sera "herculéenne"
L'essentiel des journaux s'intéresse cependant déjà à "l'après". Libération dresse la liste "herculéenne" des dossiers qui attendent le nouvel élu: guerres en Irak et en Afghanistan, crises financière et économique, relations transatlantiques, environnement, santé… Le New York Times estime lui que l'économie, sous des formes variées (plan de relance, soutien au secteur automobile, immobilier…), dominera certainement les premiers jours de la présidence Obama. Deux soucis, cependant, soulignés respectivement par Le Figaro et le quotidien économique espagnol Expansion: les promesses du nouveau président pèseront "très lourd" sur des finances publiques encore en difficulté, et les démocrates ne disposeront pas au Sénat de la "super-majorité" qui leur permettrait de faire passer facilement leurs projets. En revanche, Les Echos soulignent que Barack Obama dispose de la confiance des milieux économiques, symbolisés par le milliardaire Warren Buffett.
Une équipe présidentielle expérimentée
Avec quels hommes Obama va-t-il s'attaquer à ces défis? Le New York Times explique que le nouvel élu s'est tourné, pour son équipe proche, vers des "vétérans de l'administration Clinton, connus pour leur grande connaissance de Washington", comme Rahm Emmanuel et John Podesta. Le Figaro, lui, cite deux noms d'anciens candidats à la présidence, John Kerry et Al Gore, qui pourraient s'occuper des affaires étrangères et de l'environnement. Pour le poste de secrétaire au Trésor, les favoris cités par le Wall Street Journal sont expérimentés, puisque le quotidien des affaires évoque d'anciens titulaires du poste (Lawrence Summers, Robert Rubin), l'ancien président de la Fed, Paul Volcker, ou le président de la Fed de New York, Timothy Geithner. La transition commence en tout cas immédiatement puisque, comme le souligne El Pais, Obama tient dès ce jeudi sa première réunion sur la sécurité nationale.
Les républicains soignent leur gueule de bois
Vaincu, le parti républicain va lui tenter de panser ses plaies. Le New York Times s'interroge notamment sur le manque de communication, durant la campagne, entre John McCain et Sarah Palin, qui a pu parfois tourner à la "guerre civile". Dans une tribune au Wall Street Journal, l'ancien conseiller de George W. Bush Karl Rove estime lui que la coalition républicaine a perdu de son unité, les croyants pratiquants et les Hispaniques votant davantage que d'habitude pour les démocrates. A l'image de Colin Powell, cité par le Financial Times, plusieurs responsables républicains ont donc déjà invité le parti à accomplir son examen de conscience… qui pourrait se faire sans John McCain. "Loser magnifique", selon les mots du quotidien suisse Le Temps, ce dernier risque, d'après le Guardian, de retourner dans les "marges" du parti.
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La rédaction de Obs.com et à l'auteur Jean-Marie Pottier. netconnaissances.fr.g
Suivez, heure par heure, tous les événements liés à l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis.
MERCREDI 5 NOVEMBRE
Retrouvez tous les événements liés au jour de l'élection présidentielle américaine, depuis l'ouverture des premiers bureaux de vote, mardi 4 novembre à minuit (heure locale) jusqu'à mercredi 5 novembre au soir
23h50 Orlando (Etats-Unis) L'Américain Tiger Woods, le N.1 mondial et premier joueur noir à remporter un tournoi du Grand Chelem de golf, ne commente pas du tout l'élection de Barack Obama.
23h45 Washington L'administration Bush laisse ouverte la question d'une participation du président élu Barack Obama au côté du président sortant George W. Bush à un prochain sommet de dirigeants internationaux sur la crise économique.
23h25 Los Angeles A Hollywood, des acteurs comme George Clooney ou Jennifer Aniston et des musiciens comme le rappeur Sean Combs, alias "P Diddy", ou Usher expriment leur satisfaction après l'élection de Barack Obama.
22h55 Washington Le renseignement américain commencera jeudi à fournir au président élu Barack Obama des informations hautement confidentielles, indique à l'AFP une source proche du dossier.
22h15 Paris La victoire Barack Obama à l'élection présidentielle américaine est largement approuvée par les Français, 84% d'entre eux se disant "satisfait(s)", selon un sondage CSA/ Aujourd'hui en France.
22h04 New York La Bourse de New York termine en forte baisse : le Dow Jones perd 5,28% et le Nasdaq 5,66%.
21h50 Washington Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn félicite Barack Obama, se réjouissant de travailler avec lui avant même son entrée en fonctions officielle.
21h45 Washington Réélu mardi représentant de l'Illinois au Congrès, Rahm Emanuel, un proche de Barack Obama, envisage d'accepter le poste de prochain secrétaire général de la Maison Blanche, annonce Steny Hoyer, un haut responsable démocrate.
21h40 Washington La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice salue l'élection de Barack Obama et dit qu'elle est fière que les Etats-Unis aient élu leur premier président noir.
21h35 Washington Le camp du président élu Barack Obama présente l'équipe chargée de préparer la transition entre l'administration Bush et celle du nouveau président.
21h25 Washington Les républicains du Sénat, se disent prêts à travailler avec le président élu démocrate Barack Obama.
21h10 Montréal L'élection de Barack Obama constitue un "signal" d'ouverture très important pour les Etats-Unis et l'ensemble de la planète après la période de repli vécue par les Américains, estime le Premier ministre québécois Jean Charest.
20h20 Paris Le député européen Benoît Hamon, candidat au poste de premier secrétaire du Parti socialiste, regrette que le PS juge parfois que "la couleur de peau et l'origine culturelle" puissent être "un handicap électoral" alors que l'élection de Barack Obama a montré le contraire.
20h00 Washington Sarah Palin refuse d'endosser la responsabilité de la défaite de son colistier John McCain face à Barack Obama, et appelle les Américains à se rassembler, dans des déclarations diffusées par CNN.
19h55 Paris Olivier Besancenot (LCR) juge qu'"une page se tourne" avec l'élection de Barack Obama, mais assure qu'"aucune mesure favorable aux travailleurs ne figure dans son programme"..
19h40 Paris Pat Ryan, responsable de la candidature de Chicago aux jeux Olympiques 2016, affirme qu'il espère voir Barak Obama soutenir en personne devant le CIO la candidature de la ville de l'Etat où il fut sénateur.
19h30 Washington La présidente démocrate de la Chambre des représentants américaine, Nancy Pelosi, appelle à une action rapide face à la crise économique.
19h25 Paris Les Etats-Unis vont sortir de "l'unilatéralisme de combat" en matière de diplomatie après l'élection de Barack Obama, estime la secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade, à l'émission Questions d'info (LCP-France Info-AFP).
19h20 Moscou Une rencontre entre le président russe Dmitri Medevdev et Barack Obama pourrait avoir lieu le 15 novembre en marge d'un sommet du G20 à Washington sur la crise financière, déclare le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.
19h05 Paris La secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade propose de limiter le renouvellement des mandats électifs pour favoriser la représentation de la diversité en politique.
18h55 Nairobi Les prénoms "Obama" et "Michelle" ont beaucoup de succès dans les maternités du Kenya, une femme réussissant même à donner les deux prénoms d'un coup à ses jumeaux.
18h45 Strasbourg Le maire socialiste de Strasbourg, Roland Ries, se dit "heureux" d'accueillir Barack Obama lors du sommet de l'OTAN qui doit se tenir dans sa ville les 4 et 5 avril prochains. 18h30 Washington Rahm Emanuel, un des stratèges du Parti démocrate, a été choisi par Barack Obama pour occuper le poste de secrétaire général de la Maison Blanche, selon des responsables démocrates.
18h25 Washington Barack Obama a remporté 52% des voix au niveau national contre 46% pour son adversaire républicain John McCain, rapportent les médias américains.
17h50 Washington La secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, juge "exaltante" l'élection de Barack Obama et se dit fière que les Etats-Unis aient élu leur premier président noir.
17h40 Kisumu Les prénoms Obama et Michelle ont beaucoup de succès dans les maternités du Kenya, une femme réussissant même à donner les deux prénoms d'un coup à ses jumeaux.
17h05 Rennes L'élection de Barack Obama est une "grande leçon de la société américaine" estime Lilian Thuram, l'ancien capitaine de l'équipe de France de football, originaire de la Guadeloupe.
16h35 New York Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, félicite Barack Obama pour sa victoire et dit s'attendre à un "partenariat renouvelé entre l'ONU et les Etats-Unis" et à un "nouveau multilatéralisme".
16h20 Washington George W. Bush promet à son successeur démocrate Barack Obama la "coopération complète" de son administration dans la période de transition.
15h50 Téhéran L'élection de Barack Obama est un "signe évident" de la volonté de changement politique des électeurs américains, affirme le ministère iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki.
15h45 Washington Selon un sondage, près de six Américains sur dix estiment qu'Obama a l'expertise nécessaire pour être président.
15h35 Moscou L'ex-numéro un soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, estime que Barack Obama devra entamer une "perestroïka" aux Etats-Unis, et se dit "très heureux" de l'élection du candidat démocrate.
15h35 New York Wall Street ouvre en baisse : le Dow Jones perd 1,19% et le Nasdaq 1,14%.
15h30 Paris "Une opportunité s'ouvre pour le multilatéralisme" avec l'élection de Barack Obama, estime François Fillon.
15h30 Paris Jacques Chirac estime que l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis suscite "dans le monde émotion et espoir". 15h20 Londres Le dollar s'affiche en hausse face à l'euro en milieu d'échanges européens, après une chute historique la veille, le pessimisme reprenant le dessus après la victoire du démocrate Barack Obama à l'élection présidentielle américaine. 15h15 Téhéran Le conseiller pour la presse du président iranien Mahmoud Ahmadinejad conseille au nouveau président américain Barack Obama d'opter pour le "pacifisme" à la place de la "voie militariste" du président George W. Bush
15h10 Tunis Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali déclare qu'il est "convaincu que les relations d'amitié et de coopération entre la Tunisie et les Etats-Unis continueront d'être renforcées afin de conforter les idéaux de liberté, de démocratie et de paix, partagés par les deux pays".
Il exprime "son aspiration à oeuvrer avec le président américain élu pour poursuivre les efforts visant à diffuser une paix juste, durable et globale au région du Moyen-orient". 15h10 Santiago La présidente chilienne Michelle Bachelet salue l'élection du démocrate Barack Obama à la présidence américaine et souligne que le Chili partage son souci de justice sociale et d'égalité des chances. 14h55 BruxellesLe président de la Commission Européenne, Juan Manuel Barroso déclare : "J'espère sincèrement que, sous la direction du président Obama, les Etats-Unis joindront leur force à l'Europe pour mener à bon port un new deal pour le bénéfice du monde entier". 14h55 DakarLe président sénégalais Abdoulaye Wade appele la France à un "changement" après la victoire historique de Barack Obama, premier Noir élu président des Etats-Unis, regrettant qu'en France "les Noirs n'arrivent pas à percer sur le plan économique". 14h50 Brasilia Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva qualifie la victoire de Barack Obama "d'extraordinaire" et demande la fin du blocus américain de Cuba, prônant également de meilleures relations des Etats-Unis avec l'Amérique latine. 14h50 Santiago Les Etats-Unis vont changer de façon "fondamentale" avec le démocrate Barack Obama à la présidence, de même que les relations avec l'Amérique latine, estime le secrétaire général de l'Organisation des Etats américains (OEA), José Miguel Insulza. 14h40 Buenos Aires La victoire de Barack Obama à la présidentielle américaine est un message d'espoir pour le monde, affirme à Buenos Aires le ministre argentin des Affaires étrangères Jorge Taiana. 14h35 Vatican Le pape Benoît XVI adresse un télégramme de félicitations à Barack Obama pour saluer "l'occasion historique" que constitue son élection à la présidence américaine. 14h20 Moscou Le président russe Dmitri Medvedev félicite Barack Obama, l'invitant à "un dialogue constructif" sur la base de la "confiance", annonce le Kremlin.
14h20 Paris Le président américain élu Barack Obama n'a "pas fait campagne sur sa couleur" et sa victoire est avant tout "conjoncturelle", liée au rejet de la politique de George W. Bush, estime Jean-Marie Le Pen, président du Front national.
13h35 Prague La République tchèque, qui assumera au premier semestre 2009 la présidence de l'UE, souhaite organiser à Prague un premier sommet avec Barack Obama et les dirigeants des 27, déclare le vice-Premier ministre tchèque Alexandr Vondra.
13h15 Rome Le chef des sénateurs italiens de droite, Maurizio Gasparri, provoque une polémique mercredi en suggérant que le mouvement terroriste Al-Qaïda est "peut-être plus content" avec la victoire de Barack Obama. 13h05 Paris Nicolas Sarkozy salue dans l'élection d'Obama une victoire de la "rupture", devant le gouvernement.
13h00 Paris François Bayrou, président du Mouvement démocrate (MoDem), estime qu'"après le désastre des années Bush (...), l'élection de Barack Obama fait que le monde respire mieux".
12h20 Paris Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, déclare que l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis est " une immense joie".
12h10 Paris Christine Lagarde souhaite que la transition "s'organise bien" entre les deux administrations américaines à la veille du G20 sur la crise financière prévu le 15 novembre à Washington. 12h10 Rome Le photographe italien Oliviero Toscani, connu pour ses campagnes de publicité choc pour Benetton, prédit que Barack Obama va "changer le monde", dans une déclaration à l'AFP. 12h00 Rome L'amitié entre Rome et Washington continuera à croître, assure Berlusconi. 11h35 Bruxelles Le secrétaire général de l'Otan Jaap de Hoop Scheffer félicite Barack Obama, soulignant l'importance de la coopération entre Washington et ses alliés européens face aux menaces actuelles.
11h35 Johannesburg Le premier président noir d'Afrique du Sud Nelson félicite Barack Obama, un exemple, selon lui, que tout le monde pouvait "rêver" de changer le monde.
11h25 Paris SOS Racisme salue un "moment historique". 11h20 Moscou Dmitri Medvedev espère que la "nouvelle administration américaine" optera pour de "bonnes relations" avec la Russie.
10h55 Paris Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer fait savoir qu'il invitera Barack Obama à s'exprimer devant l'hémicycle lors de sa première visite en France.
10h40 Paris "Si le monde est forcément concerné par cette belle élection si symbolique, l'élection du président des Etats-Unis n'est pas l'élection du président du monde", déclare François Hollande lors d'un point presse au siège du PS.
10h35 Paris Le Medef salue l'élection historique de Barack Obama. 11h05 Paris La Bourse de Paris poursuit son repli, le CAC 40 lâchant 2,45%, plombé par une conjoncture économique très sombre, alors que la victoire de Barack Obama avait déjà été intégrée par le marché.
10h45 Dublin Le Premier ministre irlandais Brian Cowen félicite Barack Obama, l'invitant à venir dans le comté d'où l'un de ses ancêtres avait émigré vers les Etats-Unis il y a 150 ans.
10h40 Madrid Le gouvernement espagnol salue la "volonté de changement" de la société américaine et espère "consolider" ses relations avec Washington qui étaient plutôt froides sous l'administration Bush.
10h15 Paris Rama Yade estime que l'élection de Barack Obama est "une chute du mur de Berlin fois dix".
10h25 Bruxelles Le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa salue l'élection "historique" de Barack Obama et appelle le nouveau président à être un "médiateur honnête" de la paix au Proche-Orient, contrairement à l'administration américaine actuelle.
10h20 Paris Le premier secrétaire du PS François Hollande salue l'élection "si symbolique" de Barack Obama, et appelle à "un dialogue nouveau" de l'Europe et de la France avec l'Amérique.
10h10 Moscou La guerre en Géorgie et la crise financière internationale sont les conséquences de la politique "présomptueuse" des Etats-Unis, déclare le président russe Dmitri Medvedev dans sa première adresse annuelle à la nation.
9h55 Paris La cantatrice Barbara Hendricks se dit "très émue" par la victoire de Barack Obama.
9h50 Kaboul Le président afghan Hamid Karzaï fait part de sa "première et principale demande" à Barack Obama: la fin des frappes meurtrières visant des civils en Afghanistan. 9h45 Moscou Moscou espère un renouveau dans les relations russo-américaines après la victoire de Barack Obama, déclare le vice-ministre russe des Affaires étrangères Grigori Karassine cité mercredi par les agences russes.
9h35 Caracas Le président vénézuelien Hugo Chavez félicite Barack Obama pour son "élection historique" et exprime sa volonté d'établir de "nouvelles relations" avec les Etats-Unis et relancer "un agenda bilatéral constructif" pour le bien-être des deux peuples. 9h35 Paris Ségolène Royal souhaite que "l'Amérique métissée" qui a porté à sa présidence Barack Obama fasse "progresser partout la fraternité mondiale".
9h30 Islamabad Le Premier ministre pakistanais Yousuf Raza Gilani félicite Barack Obama pour sa victoire, et estime que cette élection va promouvoir "la paix et la stabilité" dans la région.
9H30 Paris La victoire de Barack Obama est "l'expression d'une immense attente de changements" et "la défaite cinglante du néo-conservatisme de John Mac Cain et de Georges Bush", estime le Parti communiste français. 9h15 Paris La Bourse de Paris se replie nettement dans les premiers échanges, le CAC 40 perdant 1,61% dans les minutes suivant l'ouverture de la séance, malgré l'euphorie des places asiatiques après la victoire de Barack Obama. 9h10 Jérusalem Le Premier ministre israélien sortant Ehud Olmert salue la victoire "éclatante et historique" de Barack Obama, émettant l'espoir d'un "resserrement" des relations bilatérales et des progrès dans le processus de paix sous son mandat.
9h10 Bagdad Le gouvernement irakien a "le sincère désir" de coopérer avec Barack Obama dans l'interêt des deux pays, affirme le porte-parole Ali al-Dabbagh dans un communiqué. 9h05Paris La Bourse de Paris ouvre en baisse, l'indice CAC 40 perdant 0,42% à 3.675,66 points, malgré l'euphorie des places asiatiques après la victoire du démocrate Barack Obama.
9h00 Paris La maire de Lille Martine Aubry, estime que "le grand peuple américain a réalisé le formidable rêve de Martin Luther King en portant un homme noir" à la présidence des Etats-Unis.
8h55 Rome Le Vatican dit espérer que Barack Obama réponde "aux attentes" de paix et de justice dans le monde.
8h50 Paris La ministre de l'Economie Christine Lagarde salue l'élection "symboliquement extraordinaire" de Barack Obama et estime que l'arrivée au pouvoir d'un représentant d'une minorité s'était déjà "un peu produite en France" avec l'élection de Nicolas Sarkozy.
8h50 Washington Environ 66% des électeurs américains ont participé à l'élection présidentielle, un record jamais dépassé depuis 1908, selon le site spécialisé indépendant RealClearPolitics.
8h50 Paris La secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade déclare que l'élection de Barack Obama était un "défi", qui devait "sonner le moment de la mobilisation" en France pour davantage de diversité en politique.
8h40 Jérusalem Le chef de l'opposition de droite Benjamin Netanyahu, candidat au poste de Premier ministre, se dit convaincu qu'il pourra oeuvrer à la paix au Proche-Orient avec Barack Obama.
8h30 Paris Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner prévient que la solution au conflit en Afghanistan ne peut être uniquement militaire, alors que Barack Obama souhaite une augmentation des troupes étrangères dans ce pays.
8h24 Madrid Plusieurs centaines d'Américains célèbrent la victoire d'Obama à Madrid.
8h20 Kaboul L'Afghanistan sera au coeur de la politique étrangère de Barack Obama, qui poursuivra et développera l'engagement américain, affirme l'ambassadeur américain dans le pays, William Wood.
8h15 Berlin La chancelière allemande Angela Merkel félicite Barack Obama pour sa victoire "historique" à l'élection présidentielle américaine, affirmant dans un communiqué son attachement au partenariat avec les Etats-Unis. 7h45 Sydney Le Premier ministre australien Kevin Rudd estime que Barack Obama a concrétisé "le rêve" de Martin Luther King. 7h45 Khartoum Victoire Obama: Khartoum souhaite un "changement" dans les liens entre les Etats-Unis et le Soudan.
07h40 Washington Les démocrates ont atteint une confortable majorité de 56 sièges sur 100 au Sénat lors des élections, tout en renforçant leur majorité à la Chambre des représentants, selon des résultats donnés par les chaînes de télévisions américaines.
7h30 Rome Les Etats-Unis ont fait un "choix courageux dans une situation difficile" avec la victoire de Barack Obama à la présidentielle américaine, estime l'opposition italienne, assurant que la nuit écoulée "entrera dans l'Histoire".
7h25 VarsovieLe chef historique du syndicat polonais Solidarité Lech Walesa félicite Barack Obama, tout en espérant qu'il saura trouver un moyen pour sortir les Etats-Unis d'une crise économique et politique. 7h20 Londres Le Premier ministre britannique Gordon Brown félicite Barack Obama, saluant ses "valeurs progressistes et sa vision pour l'avenir".
7h20 ManilleLes Philippines félicitent Barack Obama pour sa victoire "historique", appelant à une plus étroite coopération entre les deux pays.
7h20 Paris Bertrand Delanoë, candidat au poste de premier secrétaire du PS, voit dans l'élection de Barack Obama "un formidable message d'espoir et de sursaut dans un monde en proie au doute et à la confusion".
7h20 Berlin Le président allemand Horst Köhler félicite Barack Obama, indiquant dans un communiqué qu'il pouvait compter sur l'Allemagne "comme partenaire fiable et ami de longtemps".
7h05 Tokyo La Bourse de Tokyo termine en hausse de 4,46% après la victoire d'Obama. 7h00 Jérusalem Les relations israélo-américaines après la victoire de Barack Obama sont promises à "un bel avenir", déclare à l'AFP le porte-parole du ministère des Affaires Etrangères Yigal Palmor.
7h00 TokyoLe Premier ministre japonais félicite Barack Obama. 6h55 KaboulLe président afghan Hamid Karzaï félicite Barack Obama, affirmant que sa victoire à allait faire entrer le monde dans une "ère nouvelle".
6h55 Gaza Le Hamas appelle Obama à tirer les leçons des "erreurs" de Bush. 6h55 Téhéran L'élection de Barack Obama est une "occasion et un test pour l'Amérique et le monde", se félicite le député conservateur iranien Hamid-Reza Haji-Babaie, membre du bureau de la présidence du parlement.
6h55 PékinLe président chinois Hu Jintao félicite Barack Obama.
6h45 Ramallah Le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas appelle Barack Obama à accélérer les efforts en vue d'un règlement du conflit israélo-palestinien.
6h40 Washington La fille du militant des droits civiques Martin Luther King, Bernice King salue l'élection de Barack Obama, affirmant que son père "aurait été fier". 06h35La Havane Des dissidents cubains espèrent que l'élection de Barack Obama permettra d'ouvrir un dialogue avec le gouvernement de Raul Castro.
6h25 Wellington Le Premier ministre travailliste néo-zélandais Helen Clark félicite Barack Obama.
6h25 MexicoLe président mexicain Felipe Calderon félicite Barack Obama. 6h20 BogotaLa Colombie félicite le président élu des Etats-Unis Barack Obama, à qui elle "réitère sa disposition à continuer à travailler sur des thèmes communs", dans un communiqué publié dans la nuit par le ministère des Affaires étrangères.
6h05 ParisLe Premier ministre François Fillon adresse ses "félicitations les plus vives" à Barack Obama pour sa victoire "historique" à l'élection présidentielle américaine, annonce Matignon. 6h05 Chicago "Le changement arrive en Amérique", déclare le président élu Barack Obama. 6h00 ParisL'élection de Barack Obama est une "occasion historique de conjuguer nos efforts", déclare le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, en saluant la victoire d'"un homme attaché au dialogue". 6h00 Bruxelles Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso félicite Barack Obama pour son élection à la Maison Blanche, et espè que sous sa direction, les Etats-Unis s'allieront à l'Europe pour "mener le monde vers un 'new deal'".
6h00 ChicagoBarack Obama, devenu à 47 ans le premier président noir des Etats-Unis, se présente devant des milliers de partisans en liesse dans un grand parc de Chicago. 5h55 WashingtonDes centaines de jeunes enthousiastes sont rassemblés devant la Maison Blanche aux cris d'"Obama, Obama" pour célébrer la victoire du sénateur démocrate noir à la présidentielle.
5h50 New YorkDes milliers de New-yorkais exultent de joie à Times Square, le carrefour le plus animé de Manhattan, devant les écrans géants qui relaient la victoire de Barack Obama.
5h45 New YorkLes contrats à terme sur les indices boursiers de la Bourse de New York, censés préfigurer leur évolution future, bondissent après l'annonce par les médias américains de l'élection du démocrate Barack Obama à la présidence des Etats-Unis.
5h45 Hong KongLa Bourse de Hong Kong affiche une hausse sensible de 5,7% mercredi à mi-séance dans la foulée de Wall Street et de l'élection du démocrate Barack Obama à la Maison Blanche, selon des courtiers.
5h40 NairobiLe président kényan Mwai Kibaki décrète jeudi journée fériée pour l'élection "historique" à la présidence des Etats-Unis de Barack Obama, dont le père était Kényan, annonce la présidence kényane.
5h40 Bagdad L'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis "n'entraînera pas un désengagement rapide américain d'Irak", affirme à l'AFP le chef de la diplomatie irakienne Hoshyar Zebari.
5h30 Washington George W. Bush appelle celui qui doit lui succéder, le démocrate Barack Obama, pour le féliciter de sa victoire lors d'une "superbe" soirée électorale, indique la porte-parole de la Maison Blanche, Dana Perino.
5h30 Paris Nicolas Sarkozy félicite Barack Obama pour sa "victoire brillante" à l'élection présidentielle américaine, annonce l'Elysée. 5h30 WashingtonBarack Obama remporte les neuf grands électeurs du Colorado, selon les médias américains.
5h25 Paris Patrick Devedjian, secrétaire général de l'UMP, salue la victoire de Barack Obama, estimant que "les Américains ont élu le rêve américain".
5h20 Phoenix John McCain admet sa défaite et félicite Barack Obama pour sa victoire à la présidentielle.
5h20 WashingtonBarack Obama, tout juste déclaré vainqueur de l'élection présidentielle américaine, obtient la victoire en Floride, l'un des principaux Etats-clés pour s'emparer de la Maison Blanche, annoncent deux médias américains.
5h15 ChicagoUne immense clameur fuse dans le parc de Chicago (Illinois, nord) où le candidat démocrate Barack Obama a donné rendez-vous à ses partisans, à l'annonce de sa victoire à la présidentielle américaine.
5h05 Jakarta"Obama a gagné!", chantent les élèves de l'école primaire de Jakarta où le candidat démocrate avait étudié lors de son séjour en Indonésie.
5h00 WashingtonObama élu président des Etats-Unis
5h00 WashingtonBarack Obama est vainqueur dans l'Etat de Virginie.
4h45 Phoenix L'atmosphère est calme, sur fond de musique country, à la soirée électorale de John McCain alors que les premiers résultats donnent une avance au candidat démocrate Barack Obama à l'élection présidentielle. 4h35 WashingtonLe candidat démocrate à la vice-présidence, Joe Biden, qui se représentait en tant que sénateur dans son Etat du Delaware (est) est réélu, selon des résultats donnés par les chaînes de télévision américaines. 4h35 Washington George W. Bush s'est entouré mardi soir de ses proches à la Maison Blanche pour suivre les résultats des élections loin des regards du public, et a recommandé le vainqueur à la bénédiction de Dieu, indique sa porte-parole.
4h20 New York Les contrats à terme sur les indices boursiers de la Bourse de New York, censés préfigurer leur évolution future, remontent alors que le candidat démocrate Barack Obama distance son adversaire. 4h20 WashingtonLes démocrates ont arraché quatre sièges aux républicains du Sénat américain, dépassant la barre des 51 sièges pour atteindre la majorité, selon des résultats donnés par les chaînes de télévision américaines. 4h05 WashingtonLe démocrate Barack Obama remporte les sept grands électeurs de l'Iowa, selon les médias américains. 4h00 New York Lorsque certains faisaient la queue pendant des heures devant les bureaux de vote, Tim Robbins s'est, quant à lui, retrouvé devant le juge mardi matin. Son nom avait disparu des listes, alors qu'il vote depuis 20 ans au même endroit, a-t-il expliqué lors d'un entretien téléphonique.
3h55 ChicagoLa liesse s'est emparée des milliers de partisans de Barack Obama rassemblés dans un parc de Chicago, au fur et à mesure de l'arrivée de résultats favorables.
3h50 Washington Barack Obama atteint la barre des 200 grands électeurs, selon les médias américains.
3h45 WashingtonSelon CNN, Barack Obama totalise 199 grands électeurs, contre 78 pour John McCain.
3h35 WashingtonObama remporte les cinq grands électeurs du Nouveau-Mexique (sud-ouest), selon deux médias américains.
3h35 WashingtonLe leader de la minorité républicaine au Sénat américain Mitch McConnell réélu sénateur du Kentucky (centre-est), selon des résultats donnés par les chaînes de télévisions américaines.
McConnell était menacé dans son Etat du Kentucky traditionnellement républicain par le démocrate Bruce Lunsfo
3h25 Washington Le démocrate Barack Obama remporte l'Etat clé de l'Ohio (nord-est), un bastion républicain qui lui a apporté un important contingent de 20 grands électeurs, selon les médias américains.
3h20 Paris Les éditorialistes de la presse française, bien qu'ignorant le résultat de la présidentielle américaine au moment de la mise sous presse, saluent déjà une "élection historique" qui va se traduire, quel que soit le résultat final, par un "nouveau départ".
3h10 Washington Barack Obama remporte l'Etat de New York (nord-est) et ses 31 grands électeurs, sur les 270 nécessaires pour gagner l'élection présidentielle, selon les chaînes américaines CNN et CBS.
3h00 Washington Selon CNN, Barack Obama aurait 174 grands électeurs, contre 49 pour John McCain.
2h50 Washington Selon CNN, Barack Obama aurait 102 grands électeurs, contre 34 pour John McCain.
2h20 Washington Les démocrates ont pris trois sièges aux républicains au Sénat américain ce qui leur permet de s'approcher de la barre des 51 sièges de la majorité, selon des résultats partiels donnés par les chaînes de télévision américaines.
2h00 Washington Barack Obama remporte la Pennsylvanie.
2h00 New YorkLes contrats à terme sur les indices boursiers de la Bourse de New York, censés préfigurer leur évolution future, se replient légèrement, après une séance de forte hausse, alors que les médias commencent à donner des estimations sur l'élection présidentielle.
1h55 Washington Le candidat républicain John McCain se dit "confiant" de pouvoir remporter l'élection aux dépens du démocrate et favori Barack Obama.
1h40 WashingtonLes résultats du scrutin dans l'Ohio, Etat-clé du nord comptant 20 grands électeurs, sont encore trop serrés mardi soir pour départager John McCain et Barack Obama, selon les médias américains.
1h40 Washington John McCain remporte les 5 grands électeurs de la Virginie Occidentale (est), sur les 270 nécessaires pour remporter l'élection, selon les médias américains.
1h30 Washington Floride : les décomptes donnent Obama vainqueur à 48%, contre 34% pour McCain, selon CNN.
1h25 WashingtonJohn McCain remporte les huit grands électeurs du Kentucky et Barack Obama est vainqueur dans le Vermont (trois grands électeurs), selon les chaînes américaines CNN et MSNBC.
1h20 WashingtonSelon CNN, 54% des votants de Floride auraient choisi McCain, 46% Obama.
1h20 WashingtonSelon CNN, McCain l'emporterait en Virginie avec 55% des voix, contre 44% pour Obama.
1h15 WashingtonBarack Obama l'emporterait dans le Vermont avec 65% des votes. John McCain recueillerait 32%.
1h15 WashingtonLe démocrate Mark Warner est élu au Sénat américain pour l'Etat de Virginie (est), selon les médias américains. Mark Warner bat le républicain Jim Gilmore. C'est le premier siège remporté par les démocrates sur les républicains mardi soir.
1h15 TokyoLa Bourse de Tokyo entame la séance de mercredi en forte hausse. 0h45Washington Selon des premières estimations, Barack Obama est donné vainqueur dans le New Hampshire avec 67% des voix contre 33% pour John McCain. Indiana : 57% pour Obama, 42% pour McCain. Kentucky : 36% pour Obama, 62% pour McCain. > Voir la carte 0h40 Washington L'économie représente la préoccupation numéro un de 62% des électeurs américains, selon un sondage réalisé à la sortie des urnes par la chaîne de télévision américaine CNN.
0h35 WashingtonLe candidat républicain John McCain dépose plainte contre certains comtés de Virginie qui ont envoyé trop tard les formulaires pour voter par correspondance aux soldats américains basés à l'étranger, pour que ceux-ci puissent voter mardi. 0h30 WashingtonEn Caroline du Nord, un des Etats clés pour cette élection, une très forte participation est déjà en vue. "Je suis certain que nous allons dépasser les 70%", effaçant le record de l'Etat établi à 69%, indique Johnnie McLean, directeur adjoint des opérations électorales de l'Etat.
MARDI 4 NOVEMBRE
Minuit WashingtonLes bureaux de vote des Etats du Kentucky (centre est) et de l'Indiana (nord) sont les premiers à fermer, sans indication de résultat. 23h25 ChicagoLe candidat démocrate Barack Obama joue mardi après-midi, comme à son habitude avant chaque élection, une partie de basket-ball pour tromper l'ennui.
23h20 Managua Le président du Nicaragua, Daniel Ortega, exprime sa sympathie pour Barack Obama, dont l'élection constituerait un "miracle", tout en déclarant que son gouvernement est "prêt à travailler" avec le vainqueur de la présidentielle aux Etats-Unis, quel qu'il soit.
22h45 Bogota Deux villages et une ville de Colombie aux habitants majoritairement noirs ont organisé de fausses élections que le candidat démocrate, Barack Obama, semble avoir remportées haut la main.
22h10 Washington Le taux de participation atteint un niveau très élevé et "sans précédent" dans les Etats clés susceptibles de basculer d'un camp à un autre, selon des responsables des Etats concernés.
22h05 New YorkLa Bourse de New York termine en forte hausse, dans l'attente du nom du nouveau président américain : le Dow Jones gagne 3,28% et le Nasdaq 3,12%.
21h10 San Francisco Controverse devant le petit bureau de vote de la Christian Science Reading Room de Polk Street. Depuis une heure, la machine censée avaler et compter les votes, ne veut plus prendre de nouvelles enveloppes. Plus sur le blog La nuit américaine.
19h40 Washington Dans tout le pays, les files d'attente s'allongent devant les bureaux de vote.
18h55 Chicago Le Grant Park à Chicago est en état de siège, quelques heures avant un discours sur place en soirée du candidat démocrate Barack Obama, dont les partisans espèrent qu'il sera alors président élu des Etats-Unis.
18h45 Columbus, Ohio Barack Obama remporte le vote de cet Etat-clé… auprès des chats. Dans un refuge animalier , des matous étaient invités à déposer leur "voix" dans deux litières aux couleurs des deux partis.
18h00 Washington Les deux astronautes américains de la Station spatiale internationale (ISS), en orbite à 354 km de la Terre, votent pour la présidentielle, selon une retransmission de la télévision de la Nasa.
17h25 Wasilla, Alaska La candidate à la vice-présidence républicaine, Sarah Palin, vote dès l'ouverture des bureaux, dans l'Etat dont elle est gouverneure.
17h20 Phoenix, Arizona Le candidat républicain à la Maison Blanche, John McCain, vote, accompagné de son épouse Cindy.
16h45 Madrid Le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, espère que l'élection présidentielle américaine sera un "facteur de confiance" au niveau mondial pour l'économie et les relations internationales, sans se prononcer sur l'issue du scrutin.
15h35 New York Wall Street ouvre en nette hausse, dans un marché impatient de connaître le nom du nouveau président : le Dow Jones prend 1,87% et le Nasdaq 1,98%.
15h15 BruxellesLe chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker, affirme : "Si j'étais aux Etats-Unis, je serais membre du parti démocrate, et en tant que membre du parti démocrate je voterais Obama".
15h05 La HavaneLe "Lider Maximo" de la révolution cubaine, Fidel Castro, qualifie "d'inculte, de belliqueux et de peu intelligent" le candidat républicain John McCain qui, s'il est élu à la présidence des Etats-Unis, fera croître selon lui les risques de guerre dans le monde. 15h00 Wilmington, DelawareJoe Biden vote, accompagné de sa mère Catherine, âgée de 90 ans, et de sa femme Jill.
15h00 Chicago Le vote par internet de Madelyn Dunham, la grand-mère maternelle de Barack Obama décédée lundi, sera pris en compte, annonce la porte-parole du candidat démocrate à la Maison Blanche.
14h50 Jérusalem Le prochain président américain, qu'il soit le démocrate Barack Obama ou le républicain John McCain, sera "l'ami" d'Israël, affirme le Premier ministre du gouvernement de transition, Ehoud Olmert.
14h45 ChicagoBarack Obama a voté pour l'élection présidentielle américaine, accompagné par sa fille aînée Malia.
14h30 Moscou Le leader ultranationaliste russe, Vladimir Jirinovski, estime que Barack Obama est le "Gorbatchev américain" qui détruira les Etats-Unis.
14h20 Washington Le directeur de campagne du candidat démocrate, David Plouffe, se dit confiant mais soucieux de "s'assurer que les Américains vont voter", alors que des centaines de milliers de citoyens se pressent déjà aux urnes.
13h40 Kisumu (Kenya) Barack Obama "mène" confortablement face à son rival John McCain dans une mise en scène de l'élection présidentielle américaine organisée par des comédiens kényans, dans le fief de la famille paternelle du sénateur de l'Illinois.
13h05 Paris Faouzi Lamdaoui, secrétaire national du PS à l'égalité, interpelle les dirigeants de gauche, notamment socialistes, en leur lançant: "Où sont nos Barack Obama à nous? Osez la diversité!"
12h30 MetzDeux bureaux de vote fictifs pour l'élection présidentielle américaine ont été installés dans un café et un magasin de mode de Metz par une association de quartier.
12h20 Paris La Bourse de Paris grimpe nettement, l'indice CAC 40 prenant 2,04%, les échanges restant toutefois très limités avant l'élection présidentielle américaine, alors que les mauvaises nouvelles économiques s'accumulent.
11h00 WashingtonLes premiers bureaux de vote ont ouvert à 5h00 locales dans le Vermont (nord-est) pour l'élection présidentielle américaine.
10h50 DubaïLe Premier ministre britannique, Gordon Brown, dit "attendre de travailler" avec le futur président américain, que ce soit le démocrate Barack Obama ou le républicain John McCain, à Dubaï, où il se trouve en visite.
8h50 ParisLa secrétaire d'Etat à la politique de la Ville, Fadela Amara, déclare qu'elle voterait pour Barack Obama "les yeux fermés", si elle pouvait voter aux Etats-Unis. Interrogée sur I-télé, elle a estimé que "les Français sont prêts à voter pour un candidat ou une candidate issue de l'immigration". 8h25 ParisBertrand Delanoë, maire de Paris et candidat au poste de premier secrétaire du Parti socialiste, déclare "souhaiter" l'élection de Barack Obama, "un vrai progressiste, symbole du renouveau et d'une confiance dans l'avenir par la richesse des sociétés modernes qui sont pluriculturelles".
6h00 WashingtonLes premiers bureaux de vote se sont ouverts symboliquement mardi à minuit (5h00 GMT). JEUDI 6 NOVEMBRE
10h45 Paris Jean-François Copé estime jeudi qu'il faut "aller un peu au-delà de cette Obamania", et "éviter de tomber dans une trop grande naïveté".
10h00 Rome L'Eglise catholique est aujourd'hui prête pour un pape noir, estime le chef de la conférence épiscopale américaine Wilton Daniel Gregory, lui-même "afro-américain", interrogé par le journal italien La Stampa.
9h55 Paris Bernard Kouchner déclare qu'il se rendra à Washington mardi, et qu'il présentera à Barack Obama un document transatlantique élaboré avec les Vingt-Sept.
9h00 Paris Le gouvernement a des "points de convergence" avec Barack Obama, mais il faut s'assurer que les intérêts américains "convergent avec les nôtres", déclare le secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez.
8h50 Pékin La Chine appelle Barack Obama à ne pas soutenir l'indépendance de Taïwan, soulignant que la question est importante pour de bonnes relations entre Pékin et Washington.
7h10 Tokyo La Bourse de Tokyo termine la séance de jeudi sur une chute de 6,53%, due à un retour en force du yen face au dollar et un plongeon à Wall Street mercredi.
6h50 Tokyo La presse japonaise se montre prudente après la victoire de Barack Obama, craignant un tropisme chinois et une politique protectionniste de la nouvelle administration démocrate.
6h45 Hong Kong La presse asiatique salue l'élection "significative pour les Etats-Unis et le monde" de Barack Obama à la présidence américaine, espérant qu'il rompe avec l'ère Bush et que les USA adoptent une attitude moins "arrogante" et plus "amicale" à l'égard des pays de la région.
5h50 Sydney Un leader aborigène déclare espérer que l'Australie nommera un jour à sa tête une personnalité noire.
5h15 Londres L'ensemble de la presse britannique revient sur la victoire de Barack Obama qui "engendre de l'espoir" et qui montre que "l'Amérique s'est transformée", mais avertit que le premier président noir américain a devant lui une tâche monumentale.
3h25 Washington Deux jeunes néonazis ont été inculpés dans le Tennessee (sud) pour avoir proféré des menaces de mort contre Barack Obama, avant qu'il ne soit élu premier président noir des Etats-Unis, apprend-on de source judiciaire.
3h20 New York Les instituts de sondages se félicitent d'avoir particulièrement été justes en prédisant l'élection de Barack Obama face au républicain John McCain.
2h30 Paris La presse française salue unanimement l'élection historique de Barack Obama mais reste prudente devant l'ampleur des tâches qui attendent le nouveau président américain après les deux mandats "calamiteux" de l'administration Bush.
2h15 Washington Les principaux quotidiens américains ont été contraints de réimprimer des milliers d'exemplaires mercredi, pour faire face à une demande inédite de leurs suppléments consacrés à Barack Obama.
1h30 Tokyo La Bourse de Tokyo chute de plus de 5,5% en début de séance, en réaction à une nouvelle dégringolade de Wall Street la veille au soir et à un raffermissement du yen face au dollar.
1h10 New York Le boxeur américain Roy Jones Jr, ancien champion du monde des mi-lourds, qui affronte le Gallois Joe Calzaghe lors d'un combat sans titre en jeu de cette catégorie samedi à New York, se dit "motivé" par l'élection de Barack Obama.
0h25 Doha Les soeurs Venus et Serena Williams, victorieuses au Masters de Doha, affirment que l'élection de Barack Obama comme premier président noir à la Maison blanche les a inspirées, ajoutant que l'Amérique est "un beau pays".
0h15 La Havane Le gouvernement cubain salue la victoire du démocrate Barack Obama à la présidentielle américaine et déclare que tout allégement de l'embargo sera le "bienvenu", rapporte la ministre des Investissements étrangers, Marta Lomas.
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La rédaction de Obs.com netconnaissances.fr.gd
L'astronaute venait juste de commencer à travailler lorsqu'elle a malencontreusement lâché sa trousse... Une maladresse qui perturbe le calendrier de travail de l'équipage de la navette spatiale américaine Endeavour.
Un incident en apparence mineur a émaillé la sortie orbitale des astronautes de l'équipage de la navette spatiale américaine Endeavour. Heidemarie Stefanyshyn-Piper a perdu sa trousse à outils dans l'espace alors qu'ils effectuaient mardi soir la première des quatre sorties orbitales prévues de la mission.
Elle venait juste de commencer à travailler sur le mécanisme de rotation d'une des trois doubles antennes solaires de la Station spatiale internationale (ISS), grippée, quand l'incident s'est produit, selon les images retransmises par la télévision de la Nasa.
C'est en nettoyant ses gants de la graisse que le sac à outils a glissé et lui a échappé. Son compagnon de marche dans l'espace Steve Bowen a un sac à outils identique, qu'il a partagé avec elle durant les sept heures de leur sortie orbitale.
Dans ce sac, un des objets les plus volumineux jamais perdu à cette altitude, il y avait deux pistolets à graisse, un couteau à mastiquer, des moufles.
La perte d'objets à proximité de l'ISS et de la navette peut être dangereux s'ils viennent heurter ultérieurement les vaisseaux spatiaux et la Nasa les traquent pour les localiser.
Un incident ennuyeux, donc. Mercredi, la Nasa était même en train d'adapter les prochaines sorties orbitales à cette nouvelle donne.
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La rédaction de LE FIGARO.fr sciences pour cet article netconnaissances.fr.gd
Outre les poids lourds du e-commerce comme Amazon ou Cdiscount, des milliers de TPE vendent sur le Web. Qui sont ces petits e-commerçants ? Comment gèrent-ils leur activité ? Une étude d'Oxatis, un prestataire de boutiques clé en main, fait leur portrait.
Une majorité de quarantenaires
Monter son site marchand n'est pas une activité réservée aux plus jeunes. Au contraire, les quarantenaires sont surreprésentés puisque 51 % des commerçants du Web ont entre 35 et 49 ans. Et la deuxième tranche d'âge est celle des 50 / 65 ans, devant les 25 / 34 ans. Le fait qu'il s'agisse d'une enquête auprès d'utilisateurs de solutions clé en main explique peut-être en partie cette forte proportion de plus de 40 ans. A noter que les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes chez les 25 / 34 ans. Il s'agit de "Mompreneurs", indique Oxatis, des femmes entrepreneurs qui créent leur activité après la naissance d'un enfant.
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La rédaction de JDN Journal Du Net pour cet article netconnaissances.fr.gd
Google a été victime samedi 31 janvier 2009 d'un bug mondial bloquant l'accès à l'ensemble des sites depuis son moteur. Le directeur du développement d'AT Internet Institute tire les conclusions de cet incident.
JDN. Samedi 31 janvier 2009, une erreur humaine chez Google a provoqué un bug mondial, bloquant l'accès à l'ensemble des sites depuis le moteur. Quelles ont été les conséquences de ce bug sur le Web Français ?
Nicolas Babin. Nous avons observé un creux significatif des visites apportées par Google aux sites français entre 15h29 et 16h20, c'est-à-dire en plein "prime time" du Web, à l'heure à laquelle le e-commerce bat son plein. Les visites générées par Google ont chuté de 90 % pendant ces quarante minutes. Il est difficile de définir avec précision la perte d'audience des sites français. Cependant, nous estimons que 30 à 40 % des visites sur les sites Web se font via les résultats d'un moteur de recherche. Et comme Google concentre en France près de 92 % des recherches effectuées par les internautes, l'impact de ce bug a forcément été significatif, qu'il s'agisse d'audience ou de chiffre d'affaires, pour les e-commerçants par exemple.
Directeur du développement d'AT Internet Institute (ex-Xiti)
Ce bug laisse perplexe quant à la domination de Google sur la recherche en ligne...
Il est même doublement inquiétant. D'une part, parce qu'il met en lumière le fait que de nombreux sites et entreprises sont extrêmement dépendants de Google. C'est le moteur qui façonne la relation que les internautes entretiennent au Web. Beaucoup d'internautes s'imaginent d'ailleurs que Google, c'est le Web. Ils n'ont pas d'autres réflexes. C'est encore plus vrai en France qui est l'un des pays les plus accros à Google. Il est clair que le pouvoir de Google et la dépendance des sites français à son égard est dangereuse.
D'autre part, je m'étonne qu'une personne ait pu faire tomber Google pendant 40 minutes. De mémoire, je n'ai jamais vu un bug qui ait autant impacté Internet. Ce bug est donc très inquiétant pour son image, d'autant que le moteur de recherche est la vache à lait de ce groupe, donc l'activité la plus sécurisée.
Quelles leçons tirer de ce bug ?
La principale leçon à tirer est que la France a besoin d'une alternative crédible à Google. Je pense que la situation monopolistique de ce moteur en France résulte du fait qu'il n'existe pas de concurrent local suffisamment puissant, comme Baidu en Chine ou Yandex en Russie. Voila aurait pu tenir ce rôle il y a quelques années, mais France Télécom l'a doucement laissé péricliter. Aujourd'hui la France, n'a plus les moyens de lutter seule contre la position de Google. Même si l'exemple de Quaero (projet franco-allemand de moteur de recherche, Quaero était devenu uniquement français après le retrait des partenaires allemands pour se consacrer à leur projet national, ndlr.) montre que ce n'est pas simple, il faut une décision politique forte pour développer un vrai moteur à l'échèlle européenne.
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La rédaction de JDN Journal Du Net et à Nicolas Babin pour cet article netconnaissances.fr.gd
La République islamique d'Iran a en effet annoncé avoir placé en orbite son premier satellite, de fabrication 100% iranienne C'est le premier satellite a être lancé dans l'histoire de notre nation et il était porté par la fusée Safir-2, a rapporté mardi l'agence Fars. Si la mise en orbite d'Omid est confirmée, l'Iran serait le deuxième pays de la région, après Israël, à disposer d'une capacité de lancement de satellites Le chef de la diplomatie iranienne a assuré que les activités satellitaires de l'Iran étaient uniquement destinées à la paix.
Dépêches - International L'Iran place en orbite son premier satellite haut de la page
L'Iran a annoncé avoir placé en orbite lundi soir son premier satellite à l'aide de sa fusée Safir-2, ce qui pourrait augmenter les inquiétudes de la communauté internationale sur les capacités balistiques de la République islamique.
Ce satellite, baptisé Omid ("Espoir"), est de fabrication 100% iranienne, a en outre souligné l'agence officielle Irna.
"C'est le premier satellite a être lancé dans l'histoire de notre nation et il était porté par la fusée Safir-2", a rapporté mardi l'agence Fars, sans citer de source, alors qu'Irna a précisé que le lancement avait eu lieu lundi soir.
La télévision a montré le président Mahmoud Ahmadinejad donnant l'ordre de lancement de la fusée, qui portait un "message d'amitié et de paix du président", selon l'agence Fars.
D'après l'agence Isna, la première opération du satellite a été de diffuser ce message vers la Terre, sans préciser de quelle façon.
"Cher peuple iranien, vos enfants ont envoyé leur premier satellite indigène qui a été placé en orbite de la Terre, au nom de Dieu et du douzième imam" du chiisme, dit ce message.
"La présence officielle de la République islamique d'Iran dans l'espace a été enregistrée dans l'histoire pour renforcer la foi en Dieu, la justice et la paix", se conclut-il, selon Isna.
L'Iran avait annoncé le 17 août dernier avoir procédé au lancement avec succès de sa fusée Safir ("ambassadeur"), capable selon Téhéran d'envoyer dans l'espace un satellite léger.
"La fusée est capable de placer un satellite léger en orbite basse à une distance minimale de 250 km de la Terre et maximale de 500 km", avait affirmé la télévision d'Etat, sans citer de source.
Cette annonce avait été accueillie avec scepticisme dans de nombreux pays occidentaux. La France avait déjà affirmé, après l'annonce en février du lancement de la fusée Kavoshgar-1, qu'un tel engin "ne disposait pas de capacités extra-atmosphériques".
La frontière entre l'atmosphère et l'espace se situe à une altitude de 100 km.
La République islamique avait annoncé fin novembre avoir procédé avec succès au lancement de sa deuxième fusée spatiale, Kavoshgar-2, et à la récupération d'une sonde qu'elle transportait.
Les deux fusées semblent dérivées du missile balistique Shahab-3, le plus performant dans son arsenal, avec une portée déclarée de près de 2.000 km.
Cet engin, issu du No-dong nord-coréen, peut théoriquement frapper Israël et le sud-est de l'Europe.
Les Occidentaux ont critiqué le programme spatial iranien, dont ils craignent qu'il serve avant tout à l'Iran à développer ses capacités de frappe balistique.
En ce qui concerne le satellite Omid, il "a été lancé dans l'espace et placé en orbite", a indiqué l'agence Fars.
L'engin "a été fabriqué entièrement en Iran et est de type léger", a précisé l'agence officielle Irna, ajoutant qu'il avait "pour objectif d'avoir des communications avec une station à terre pour effectuer des mesures d'orbite et de télémesure".
"Tous les éléments de Safir-2 et d'Omid ont été réalisés par des scientifiques iraniens", écrit encore Irna.
Selon l'agence, Omid "effectue 15 révolutions autour de la terre par 24 heures et est contrôlé à deux reprises par la station au sol à chaque révolution".
Si la mise en orbite d'Omid est confirmée, l'Iran serait le deuxième pays de la région, après Israël, à disposer d'une capacité de lancement de satellites. Le Pakistan a eu recours à la Chine pour placer ses propres satellites en orbite.
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La rédaction de LeParisien.frpour cet article netconnaissances.fr.gd
Puisque 70% de la Terre est composé d’océans, il était logique pour Google d’étendre son outil au monde du silence
Depuis la semaine dernière certaines rumeurs (fondées) évoquaient l’arrivée de nouveaux outils pour GoogleEarth, le service gratuit de localisation et de cartes. Des informations confirmées ce lundi 2 février avec l’arrivée de GoogleEarth Ocean, une nouvelle extension du désormais connu programme made in Mountain View.
A la loupe, cette nouvelle extension regroupe plusieurs nouveautés. La plus notoire étant "Océan". A priori rien de vraiment très sexy mais il s’agit d’une cartographie de certains points clés du globe tel que la fosse des Mariannes ou le Rift. Des plages, des endroits paradisiaques mais aussi d’autres durement touchés par la pollution.
Car outre l’intérêt relatif de cette nouvelle mouture, GoogleEarth 5.0 permet de sensibiliser les internautes à l’environnement. Les vidéos disponible sur la carte est disponible grâce notamment à des partenariats avec le National Geographic, la BBC, ou la Fondation Cousteau. Un intérêt que commente Florence Diss, responsable des partenariats Géographiques de Google : "Tout l’intérêt est de faire partager utilisateurs et communautés scientifique autour du monde marin". Les internautes sur Google Earth peuvent en effet poster des vidéos, photos, ou encore des descriptions de plages ou d’endroits sous-marins méritant le détour.
Francine Cousteau, présidente de l’ONG du même nom explique simplement l’intérêt de cette application : "Le Commandant avait pu grâce à la télévision accéder à un monde qui était fermé. Maintenant Internet ouvre une nouvelle voie grâce à Google". On peut donc revoir à loisir les combinaisons argentées des plongeurs aux bonnets rouges lors de leurs pérégrinations dans le monde du silence.
Autres extensions de Google Earth 5, la possibilité de voir de vieilles images des villes et leur construction au fil des années. Une barre chronologique est alors disponible pour voir l’évolution de votre agglomération préférée. Enfin en choisissant de prendre un peu d’altitude, les services Google ont décidé de "cartographier" la surface de Mars. Sur ce point, ne comptez pas sur une résolution excellente mais sur quelques layers (icônes renvoyant sur des informations).
Autant de nouveautés certes peu innovantes mais qui ouvrent une brèche vers de nouvelles applications ou de nouveaux usages toujours sur le modèle du gratuit. Sur ce point les responsables de Google se font plus discrets. Florence Driss explique : "L’usage s’apparente à celui d’un navigateur, c’est-à-dire libre. Mais nous ne monétisons pas GoogleEarth" … mais on y pense aurait-elle pu ajouter.
Reste que cette nouvelle version de Google Earth est disponible en 40 langues allant du français à l’hébreu en passant par l’arabe… mais pas encore le dauphin.
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La rédaction de silicon.fr &Olivier Robillart pour cet article netconnaissances.fr.gd
L'ex-porte-avions Clemenceau a quitté mardi matin le port militaire de Brest derrière un remorqueur anglais pour son dernier voyage qui doit l'emmener jusqu'à un chantier de démantèlement dans le nord-est de l'Angleterre. Le départ de Brest de ce qui n'est plus officiellement que la coque Q790 constitue la dernière étape d'un rocambolesque feuilleton de plusieurs années qui a mené jusqu'en Inde l'ancien fleuron de la marine française désarmé en 1997.
L'énorme coque grise et rouillée a quitté le quai en douceur vers 11 heures, manoeuvrée par huit petits remorqueurs, avant d'être prise en charge par le remorqueur de haute mer britannique Anglian Earl qui lui a fait franchir le goulet de Brest en milieu de journée. La traversée de l'ex- Clemenceau en Manche puis en mer du Nord vers le chantier Able UK à Hartlepool, au nord-est de l'Angleterre, doit prendre au moins quatre jours. Able UK a remporté en juillet 2008 l'appel d'offres lancé par les autorités françaises pour déconstruire le navire de 266 mètres de long, 51 mètres de large, 14 ponts et contenant une importante quantité d'amiante. Les derniers obstacles juridiques au transfert ont été levés lundi par le tribunal administratif de Rennes, qui a rejeté le recours d'une association écologiste brestoise. Le départ de l'ex- Clemenceau était initialement prévu pour la fin janvier, mais il avait été reporté en raison du mauvais temps.
Les autorités françaises espèrent être définitivement débarrassées de l'encombrante coque, après l'échec de deux précédentes tentatives de l'expédier dans des chantiers de déconstruction : en 2003, alors que le navire a été vendu à un chantier espagnol, la Marine s'aperçoit, après dix jours de mer, que l'acheteur le dirige non vers l'Espagne comme convenu mais vers la Turquie : annulation du contrat et premier retour à Toulon. Le 30 décembre 2005, l'ex porte-avions repart vers le site d'Alang en Inde, suscitant la colère de plusieurs associations écologistes, dont Greenpeace, qui reprochent au gouvernement français de se débarrasser à bon compte d'une coque recelant beaucoup plus que les 45 tonnes d'amiante que la France veut bien reconnaître. Après un périple jusqu'aux côtes indiennes émaillé de multiples péripéties diplomatico-judiciaires, le bateau devra finalement revenir à Brest, faisant deux fois le tour de l'Afrique. Une expertise montrera peu après l'étendue des zones amiantées à traiter sur le navire : 17,5 km de tuyaux, 2,8 km de gaines de ventilation, 2.380 m2 d'amiante projetée, 3.920 m2 de matelas d'amiante pour l'isolation, 7.120 m2 de dalles au sol et 44.000 m2 de peinture.
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La rédaction de Le Point.fr pour cet article netconnaissances.fr.gd
Le plus célèbre réseau social souffle aujourd'hui ses cinq bougies et est devenu un succès planétaire. Désormais, on compte 150 millions de "facebookers" dans le monde !
Lorsque Mark Zukerberg fonde thefacebook.com dans sa chambre d'étudiant à Harvard, le jeune américain, alors âgé de 19 ans, ne s'attend pas à un tel succès. A l'origine destiné aux élèves de l'école, le site connait un véritable buzz dans le campus et s'étend rapidement à d'autres établissements scolaires américains.
Epaulé financièrement par de nombreux investisseurs croyant au succès du concept, Zuckerberg s'implante dès l'été 2004 en Californie. C'est le début de la golden story. En 2005, theFacebook achète le nom de domaine facebook.com pour 200 000 dollars. Même le géant Microsoft ne résiste pas à l'aventure et entre à hauteur de 1,6 % dans le capital.
"Si Facebook était un pays, il serait le huitième en termes de population, juste devant le Japon, la Russie et le Nigéria", se félicitait Mark Zukerberg. A 5 ans, le site est en pleine maturité. 42 millions d'utilisateurs aux Etats-Unis, 7 millions en France et une croissance mondiale de 27,55% au dernier trimestre. Seulement quatre mois après avoir dépassé le cap des 100 millions, Facebook annonçait sur son blog officiel avoir franchi la barre des 150 millions de membres dans le monde et en prévoit 200 millions pour le printemps prochain.
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La rédaction de ouestfrance.fr pour cet article netconnaissances.fr.gd
L'appareil s'est écrasé sur une maison.Crédits photo : AP
VIDÉO - 49 personnes seraient mortes alors que l'appareil, un petit avion de la Continental Express, se trouvait à 10 km de l'aéroport de Buffalo, au nord de l'Etat de New York.
Il n'y a aucun survivant, selon les pompiers. Un petit avion de ligne de la Continental Express avec 48 personnes à bord s'est écrasé jeudi soir sur une maison de la banlieue de Buffalo, dans le nord de l'Etat de New York. Le directeur des services d'urgence a précisé que le crash a fait un mort au sol et 48 à bord de l'avion.
L'appareil s'est écrasé vers 22h10 (heure locale, 5h10 en France) à Clarence sur une maison entièrement ravagée par les flammes. Douze maisons environnantes ont été évacuées.
Il assurait la liaison entre Newark dans le New Jersey et Buffalo. L'avion, un Bombardier Dash-8-Q400, s'est écrasé à seulement dix kilomètres de son aéroport d'arrivée, alors qu'il tombait de la neige fondue.
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La rédaction de Le Figaro - International pour cet article netconnaissances.fr.gd
Le Congrès mondial de la téléphonie mobile s’ouvre le 16 février à Barcelone, en Espagne, dans un contexte morose. Pour la première fois depuis dix ans, l’activité du secteur devrait enregistrer un net recul.
Ils sont 60 000 professionnels à participer au Congrès mondial de la téléphonie mobile de Barcelone qui ouvrira ses portes quatre jours durant à partir du 16 février. Et ce n’est pas le cœur léger que les participants se rendront dans la capitale catalane : pour la première fois en dix ans le secteur devrait connaître, en 2009, un recul de son activité. Une étude de l’institut Gartner estime que la baisse mondiale devrait se situer entre 1 et 4%. Plus pessimiste, le PDG du géant finlandais Nokia, Olli-Pekka Kallasvuo, prévoit un recul d’au moins 5%.
Le plus important rassemblement mondial de la téléphonie mobile risque donc de basculer de l’autocongratulation, autrefois de mise, au doute. "La visibilité sur le marché est insuffisante", pouvait-on lire à la fin de 2008 dans un communiqué de Nokia, le numéro 1 du secteur. "Les temps sont incertains", déclare Greg Brown, co-PDG de Motorola, à l’agence de presse Reuters.
Les résultats, eux, sont clairs. La fin d’année, période pourtant propice avec les fêtes, aura connu un recul des ventes de 12,6% par rapport à 2007. Le constructeur américain Motorola a décidé de supprimer près de 7 000 emplois après avoir fait état de pertes historiques de plus de 4 milliards de dollars en 2008. Et dans son bastion historique, la Finlande, Nokia s’apprête également à dégraisser.
Le haut de gamme joue le rôle de locomotive
Pour autant, le portable ne se porte pas aussi mal que d’autres secteurs tels que l’automobile ou l’immobilier. Il s’est tout de même vendu plus d’un milliard de téléphones en 2008, soit autant que l’année précédente.
Tout n’est donc pas si morose. D’autant que les smartphones, à l’image de l’iPhone et autres téléphones multifonctions haut de gamme, jouent le rôle de locomotive. Sur l’année 2008, les ventes de ces petits bijoux high-tech ont augmenté de 22,5%. Pas mal au vu de la triste progression d’un peu plus de 3% de l’ensemble des portables. "Tant que les opérateurs pourront continuer à sortir ce genre d’appareils, ce segment sera la lumière dans un marché autrement très sombre", estime Ryan Reith, un analyste du centre d’études International Data Center (IDC).
Pas étonnant dans ce contexte que chacun cherchera son smartphone au Congrès de Barcelone. Google sera présent pour parler de sa nouvelle implication dans ce secteur avec son système d’exploitation pour mobile Android. Des annonces sont attendues en ce sens chez RIM (Blackberry), Samsung ou encore HTC. Certaines marques ont même décidé, à l’instar du spécialiste du GPS Garmin ou encore Asus, de se lancer sur le marché. Un comble vu le contexte économique.
"Les téléphones haut de gamme sont devenus un moyen d’affirmation sociale", explique à FRANCE 24 Christophe Lasnes, responsable marketing chez LG France. Et il est plus facile par les temps qui courent de faire une folie à 500 euros pour le dernier cri en portable qu’à 4 000 euros pour le nec plus ultra de la télévision.
500 millions d’applications téléchargées ces six derniers mois
Qui dit smartphones et haut de gamme, dit multiplication des fonctionnalités sur ces vrai-faux mini-ordinateurs. De l’appareil photo aux dizaines de milliers d'applications téléchargeables sur l’iPhone et compagnie, tous les moyens sont bons pour capter l’utilisateur. "Les jeux vidéo sur portable ne connaissent pas vraiment la crise", assure à FRANCE 24 un responsable de Gameloft, premier éditeur européen du secteur. En 2008, les téléchargements de jeux sur smartphone ont augmenté de plus de 291% selon une étude de Comscore.
"Le haut débit et la démocratisation de l’Internet ont permis aux gens de se rendre compte de toutes les possibilités de services qui existent", explique à FRANCE 24 Olivier Saint-Reuquier, chef produit France chez Garmin, leader mondial des GPS. L’Apple Store pour iPhone a été une bénédiction pour tous ces services. Plus de 500 millions d’applications (gratuites ou payantes) ont été téléchargées lors des six derniers mois. Reste une interrogation : entre les développeurs, les opérateurs et les fabricants de téléphone, qui va récupérer les bénéfices de ce marché ? En ces temps de vaches maigres, le gâteau pourrait bien aiguiser l’appétit de nombreuses compagnies
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La rédaction de FRANCE
24 et Sébastian SEIBT pour cette vidéo netconnaissances.fr.gd
Le chien de Lycos n'ira plus chercher quoi que ce soit: le portail ferme ce dimanche. Les pages persos Multimania et la messagerie Caramail pourraient être sauvées, sous une forme ou une autre.
Le portail Internet Lycos, pionnier du Web, né en 1995 aux Etats-Unis, vit ses dernières heures: ce dimanche 15 février, le labrador noir de la marque va pour la dernière fois chercher des informations pour les internautes.
DR
La fermeture avait été annoncée en avril 2008. Lycos n'a pas vu arriver l'engouement pour les blogs et les réseaux sociaux, ouvrant une plate-forme de blogs bien plus tard que ses concurrents. La fin des activités en Europe avait été confirmée en novembre 2008.
Caramail sauvée?
Les abonnés à Lycos doivent transférer leurs données sur leur disque dur et ouvrir un compte chez un autre fournisseur, car d'ici la fin de cette journée, les fichiers seront supprimés.
La messagerie Caramail, qui faisait partie de Lycos, ferme aussi. Selon VNUnet.fr, elle pourrait néanmoins être rachetée, peut-être par le groupe allemand United-Internet. Un indice: sur la page d'accueil, l'équipe Lycos Mail incite les utilisateurs à migrer leur adresse mail vers le site GMX.fr, propriété, justement, du groupe United-Internet...
Selon le Journal du Net, les pages personnelles Multimania, également propriété de Lycos, pourraient aussi être "sauvées": les 6 millions de pages auraient été rachetées par d'anciens responsables de Lycos France.
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La rédaction de L'EXPRESSE.fr pour cet article netconnaissances.fr.gd
Quelque 1200 entreprises et 60000 professionnels du secteur sont réunis jusqu'à jeudi à Barcelone pour l'édition 2009 du Mobile World Congress. Mais après dix ans d'une croissance effrénée, l'ambiance n'est plus à la fête.
Crise oblige, le congrès mondial de la téléphonie mobile, qui s'est ouvert lundi à Barcelone et durera jusqu'à jeudi, pourrait bien se dérouler dans un climat tendu. Certes, selon une étude des Nations unies, des millions de personnes, notamment en Inde, en Chine, au Nigeria et dans d'autres marchés émergents devraient continuer à acheter des combinés mobiles «avec ou sans récession». Mais d'après l'institut d'études Gartner, cela ne devrait en aucun cas empêcher un recul des ventes de téléphones mobiles en 2009 de l'ordre de 4 à 5 %. Enfin, selon le cabinet Informa, le nombre d'abonnés, qui grimpait encore de 18,5% en 2008, ne progressera que de 12,7% cette année. Même Nokia, géant historique dans le domaine de la téléphonie mobile au vu de sa suprématie sur le marché, a enregistré une chute de 15% de ses ventes de combinés au cours du dernier trimestre.
Les professionnels du secteur, qu'ils appartiennent au monde des professionnels des télécoms, des médias, de l'informatique ou de l'internet vont donc sortir leur griffes pour ce salon qui se présente comme une vitrine technologique pour des produits de plus en plus sophistiqués, mais également comme un lieu où se nouent des partenariats et où l'on parle projets futurs.
La course à la technologie
Epargnés par la crise, avec une croissance attendue de 32% en 2009 selon Gartner, les «smartphones» vont être au centre de toutes les attentions. Dans ce segment de plus en plus concurrentiel, la présentation de nouveaux modèles à écran tactile est attendue de la part de Nokia, de HTC ou encore LG. Ce dernier souhaite d'ailleurs frapper un grand coup en dévoilant un modèle à écran tactile qui profite d'une interface en trois dimensions que l'on qualifie de révolutionnaire. De son côté, Sony veut également marquer d'une pierre blanche cette édition 2009, en dévoilant un smartphone qui dispose d'un capteur photo de 12,1 mégapixels, un record dans le domaine. Concernant Microsoft, le leader mondial des logiciels a déjà présenté Windows Mobile 6.5, la nouvelle version de son système d'exploitation pour smartphones. Mais la palme de l'originalité revient pour l'instant à Samsung, le constructeur coréen ayant présenté un téléphone nommé Blue Earth (Planète bleue), qui peut recharger sa batterie grâce à la lumière naturelle ou artificielle. Les capteurs solaires sont situés dans la partie arrière du téléphone, qui dispose également d'un chargeur conventionnel.
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La rédaction de LE FIGARO.fr Sociétés pour cet article netconnaissances.fr.gd
Le Triomphant, le sous-marin nucléaire français qui est entré en collision avec un appareil britannique similaire, début février, dans l'Atlantique.
Les autorités françaises et britanniques ont fini par admettre, ce lundi, que des "contacts" avaient eu lieu entre un sous-marin nucléaire de chaque pays, au début du mois. Ce mardi, la presse britannique critique le silence officiel qui a entouré cet événement qui aurait pu tourner à la "catastrophe nucléaire".
"Pire que le Koursk", le sous-marin nucléaire russe qui a sombré en mer de Barents en août 2000, d'après le Sun et le Telegraph. Equivalent potentiel de "1248 Hiroshima", pour l'Independent... Au Royaume-Uni, ce mardi, la presse revient sur la catastrophe évitée lors de la collision entre deux sous-marins nucléaires, l'un français, l'autre britannique.
Le Times, par exemple, publie sur son site des infographies très détaillées sur le profil des deux sous-marins, leur équipement, leur collision, le fonctionnement des sonars, etc. Ainsi qu'un témoignage à la première personne d'un ancien commandant de sous-marin britannique, Jeff Tall, dont la "plus grande peur était d'entrer en collision avec un autre sous-marin"!
Times Online
Capture d'écran du site du Times.
Mais la presse britannique se penche surtout sur le lourd silence qui a entouré pendant deux longues semaines cet événement survenu dans le golfe de Gascogne, dans la nuit du 3 au 4 février.
Le Sun se targue ainsi d'avoir "forcé" les autorités de deux pays "à la transparence", grâce à ses "révélations exclusives". Elles ont en effet reconnu lundi que des "contacts" avaient eu lieu entre les deux sous-marins.
Tous les regards se tournent notamment vers Sir Jonathon Band, le patron de la Royal Navy. L'Independent titre "Alors amiral, qu'avez-vous à dire au sujet de la collision entre les sous-marins nucléaires?". Question posée lors d'une conférence de presse, lundi, et qui a momentanément désarçonné le militaire.
The Sun
Capture d'écran du site du Sun
Le Sun a d'ailleurs choisi de le montrer en train de se prendre la tête dans les mains...
Le quotidien écrit - en lettres capitales et en gras - que la Royal Navy avait jusqu'à présent "REFUSE d'évoquer la collision qui a endommagé des missiles" du HMS Vanguard, tandis que les "Français ont FAIT SEMBLANT de croire que leur sous-marin, le Triomphant, avait percuté un container tombé d'un navire".
Côté français, le 6 février, le ministère de la Défense évoquait en effet "un sonar endommagé... à cause d'un objet immergé, sans doute un container", alors que Le Triomphant rentrait à L'Ile Longue, sa base près de Brest. Les dégâts ont même été chiffrés à 50 millions de livres sterling, rapporte la presse du Royaume-Uni...
Un silence de deux semaines sur la collision...
Côté britannique, le HMS Vanguard a mis une semaine avant de rejoindre Faslane on the Clyde, samedi, et avant que des recherches approfondies ne soient menées pour définir pourquoi il était endommagé... ce qui mit la puce à l'oreille des autorités françaises. Les deux dégradations seraient-elles donc liées?
Lundi, des "contacts" entre les deux sous-marins ont finalement été admis. Et le ministère britannique de la Défense a expliqué que les deux appareils étaient "en patrouille de routine dans l'Atlantique" quand "ils sont entrés en contact à une vitesse très réduite, sans compromettre la sécurité nucléaire".
Bonne nouvelle: nos sous-marins nucléaires sont indétectables. Moins bonne nouvelle: ils le sont un peu trop!
"Il semble qu'aucun des deux n'ait remarqué l'autre avant qu'il ne soit trop tard" pour éviter le choc, expose laconiquement le Telegraph... En effet, pour reprendre la comparaison faite par Hervé Morin, ministre français de la Défense qui a nié toute tentative de dissimulation de l'affaire sur Canal+: "Ces sous-marins sont indétectables, ils font moins de bruit qu'une crevette et ne peuvent pas émettre, parce que s'ils émettent, ils deviennent détectables".
Moins sensationnaliste que le Sun, plus ironique aussi, le Guardian voit d'abord le bon côté des choses: "La bonne nouvelle, c'est que nous tenons la preuve que la présence des sous-marins nucléaires britanniques est presque indétectable. La mauvaise, c'est que le HMS Vanguard l'était sans doute un peu trop".
Le Daily Mail insiste sur le caractère exceptionnel de cette collision: "seuls les sous-marins britanniques, américains et français sont indétectables à ce point. Et comme la marine française n'a généralement jamais deux appareils de ce type en patrouille en même temps... c'est une incroyable malchance pour la marine britannique d'être tombée sur le seul vaisseau du monde qu'elle est incapable de détecter et dont elle ne sait rien"!
Une "catastrophe humanitaire a été évitée"
Le Guardian, qui précise que les deux sous-marins transportaient 32 missiles nucléaires (16 M45 chacun), souligne que ces "contacts" auraient pu causé "une catastrophe nucléaire, selon les experts". Le Daily Mail la détaille avec le Dr John Large, ingénieur spécialiste des sous-marins nucléaires qui a déjà conseillé la Royal Navy. Pour lui, une "catastrophe humanitaire a été évitée", notamment une hausse des cancers dans la région pour trois décennies en cas de fuite de plutonium.
La presse britannique, à l'instar du Times, précise enfin que les pays membres de l'Otan échangent "des détails au sujet des zones et des profondeurs où leurs sous-marins patrouillent. Mais que la France, bien qu'elle fournissent quelques données, ne fait pas partie" de ce cercle, alors que se pose actuellement la question de son retour au sein du commandement intégré de l'Otan.
Enchanges d'informations ou pas, "même si les relations sont étroites" entre les deux pays, "ces sous-marins restent l'outil de la survie nationale en cas de guerre", rappelle Lee Willett, spécialiste de la Défense et de la Sécurité interviewé par le quotidien britannique.
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La rédaction de L'EXPRESSE.fret Marie Simon pour cet article netconnaissances.fr.gd
Un tiers du gigantesque plan de relance économique américain de 787 milliards de dollars, promulgué mardi par Barack Obama, est constitué d'allégements fiscaux, soit environ 286 milliards de dollars. Le reste repose sur des dépenses publiques dans des projets susceptibles de participer à la relance économique. Objectif : créer ou sauver 3 à 4 millions d'emplois.
Les réductions fiscales
- Parmi ces réductions, figure la mesure phare voulue par Obama pour honorer ses promesses de campagne. Les personnes seules empocheront 400 dollars et les familles 800 dollars par an en 2009 et 2010. Environ 95% des familles américaines devraient en bénéficier.
- Le projet comporte plus de 20 milliards de réductions d'impôts destinées aux entreprises.
- Parmi les autres mesures les plus emblématiques, figure la reconduction et l'aménagement d'un crédit d'impôt pour les énergies renouvelables qui coûtera 13,1 milliards de dollars. Au total, les dépenses dans le secteur des énergies renouvelables s'élèvent à 19,9 milliards. A noter également 11 milliards de dollars destinés à moderniser le réseau électrique.
> Des aides sociales
Par ailleurs, 43,7 milliards de dépenses sociales seront allouées à l'aide aux familles et aux personnes touchées par la crise, dont 26,9 milliards pour prolonger un dispositif d'urgence pour l'indemnisation des chômeurs.
> Infrastructures et immobilier
- Les autoroutes reçoivent 27,5 milliards et les transports publics 8,4 milliards.
- Le logement social va bénéficier d'une enveloppe de près de 10 milliards.
> Aides aux secteurs de la science, de la santé, de l'éducation
- Plusieurs agences et instituts de recherche vont obtenir près de 6 milliards de dollars, dont 1 milliard pour la Nasa, l'Agence spatiale américaine.
- Le secteur de la santé obtient 19 milliards pour développer des emplois liés aux nouvelles technologies.
- Le chapitre de l'éducation, d'un total de 105,9 milliards, prévoit un «fonds de stabilisation budgétaire» pour les Etats de 53,6 milliards, destiné notamment à financer des rénovations d'établissements scolaires.
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La rédaction de LeParisien.fr pour cet article netconnaissances.fr.gd
Sous la pression des membres, le réseau social adopte à nouveau ses anciennes conditions générales. Non, votre photo n'appartient pas à Facebook !
Ce n'est un secret pour personne, Facebook séduit de plus en plus et compte à ce jour plus de 150 millions d'utilisateurs à travers le monde. On observe l'ascension irrésistible de ce réseau social qui fait régulièrement de nouvelles victimes chez ses concurrents sur le plan comptable, aussi prestigieux soient-ils. MySpace ou même la plate-forme de blogs Skyrock ont d'ailleurs fait récemment les frais de cette success story qui a fait de Mark Zuckerberg, un étudiant de 24 ans, un nouveau milliardaire.
Seulement, Facebook qui a récemment fêté ses 5 années d'existence se pose un problème de taille qui est celui de rentabiliser son affaire. Cela n'est d'ailleurs pas sans nous rappeler la problématique du site de partage de vidéos en ligne YouTube qui vient lui aussi de fêter son... 4ème anniversaire. Sur le papier, la société Facebook dispose d'un trésor de guerre très précieux. En effet, le réseau social a su en très peu de temps acquérir la confiance de l'utilisateur au point de l'inciter à fournir des informations privées. Un utilisateur de Facebook n'a donc aucun mal à indiquer sa date de naissance, partager ses plus beaux clichés, publier des vidéos personnelles, indiquer ses convictions religieuses ou politiques, déclarer sa situation amoureuse (en couple, célibataire...), affirmer ses préférences sexuelles.... bref, un membre peut publier toutes les informations qu'il souhaite et les partager avec les membres de son choix.
Facebook fait machine arrière
Mais il est une personne - morale - qui dispose à souhait de l'intégralité des informations des plus de 150 millions de membres de ce réseau social, c'est Facebook lui-même. Mais de quelle façon la société dispose de nos données ? C'est justement la question à laquelle tente de répondre les responsables du site depuis le début de ce mois de février. En effet, le 4 février dernier, le blog officiel de Facebook a annoncé un "petit" changement dans ses conditions générales. En réalité, il a été évoqué explicitement à ce moment les termes "licence perpétuelle et mondiale".
Ces termes signifient en réalité que lorsqu'un membre se désinscrit de Facebook, ses informations partagées (comme ses photos par exemple) restent toujours disponibles pour les autres utilisateurs. Autrement dit, un utilisateur n'a plus du tout la main sur ses données personnelles. Uniquement disponibles en langue anglaise (pas vraiment idéal pour les autres qui ne parlent pas cette langue), ces nouvelles conditions générales auraient pu passer inaperçues mais c'était sans compter sur la capacité du réseau à se mobiliser. Ces conditions générales furent sévèrement critiquées par l'ensemble de la communauté. Un récent sondage indique que 56% des utilisateurs de Facebook s'opposent à la modification de ces conditions générales, 6% l'approuvent et 38% ne se prononcent pas.
Au final et face à une grogne montante des membres du réseau, Mark Zuckerberg a donc fait marche arrière hier en annonçant sur le blog officiel que les équipes de Facebook avaient pris en compte les nombreux commentaires relatifs à ces changements et avaient décidé de revenir aux précédentes conditions d'utilisation.
Voilà des utilisateurs officiellement rassurés et un site web qui va devoir encore chercher des solutions à ses "problèmes".
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La rédaction de memoclicet pour cet article netconnaissances.fr.gd
NEW YORK (Reuters) - Facebook propose à ses utilisateurs de l'aider à définir ses nouvelles conditions d'utilisation après avoir suscité une levée de boucliers en tentant d'instaurer des règles considérées comme trop autoritaires et susceptibles de porter atteinte à la vie privée.
Le réseau communautaire en ligne a déclaré jeudi que son site serait désormais régi par des principes reflétant l'importance d'une communication transparente et franche.
Deux avant-projets - les "Principes de Facebook" et le "Communiqué des droits et des responsabilités" - sont soumis aux commentaires des internautes.
Ces textes indiquent de manière explicite que les utilisateurs du réseau exercent un contrôle définitif sur les informations qu'ils mettent en ligne, y compris les messages et les photos.
Ainsi, l'un des 10 "Principes" établit que les internautes doivent rester les propriétaires de leurs informations personnelles et qu'ils sont libres d'en disposer à leur guise, notamment en les retirant du site.
Chaque utilisateur de Facebook peut accéder à ces propositions sur le site et pourra faire part de ses remarques au cours des prochains jours, dans le cadre d'une procédure que Mark Zuckerberg, le P-DG et fondateur de Facebook, a décrit comme "un nouveau modèle de gouvernance".
Les commentaires seront intégrés dans la version définitive des nouvelles conditions et toute modification ultérieure des règles se déroulera selon le même modèle démocratique, a indiqué le groupe.
Cette consultation survient après que la décision de Facebook de modifier les conditions d'utilisation du site au début du mois de février a suscité un véritable tollé. Nombre d'internautes avaient alors estimé que les changements introduits lui conféraient des droits à perpétuité sur les contenus mis en ligne, y compris après une éventuelle désinscription des utilisateurs.
Le réseau avait réagi à la polémique en opérant une volte-face la semaine dernière. Il avait décidé de revenir temporairement aux termes initiaux d'utilisation du service et de solliciter l'avis de ses utilisateurs dans le cadre de la mise en place de nouvelles conditions d'utilisation.
Simon Davis, le directeur de Privacy International, une organisation de défense de la vie privée, a jugé qu'il s'agissait d'une initiative "audacieuse" et d'une "avancée positive" de la part de Facebook, même s'il craint que ce projet trop ambitieux ne puisse aboutir.
Nos amples remerciements à : La rédaction de nouvel
Obs.com en temps réel ,Anupreeta Das et Myriam Rivet pour cet article netconnaissances.fr.gd
Interrogé par lefigaro.fr, Stéphane Boukris, le fondateur du site Internet Faismesdevoirs.com revient sur les raisons qui l'ont poussé à le fermer après 3 heures d'existence seulement : "Nous avons été submergés par le succès du site, qui a eu 80.000 visiteurs uniques en 3 heures et 180.000 sur trois jours de buzz. Donc nous avons réalisé que cela aurait été un désastre pour l'Education nationale, si le concept avait existé".
Un revirement de situation surprenant chez ce jeune entrepreneur de 25 ans, qui n'hésitait pas à assumer le «côté insolent et provocateur» d'un tel site, quelques heures avant son lancement. Comme son nom l'indique, ce site Internet avait été conçu pour que les élèves de la sixième à la terminale fassent faire leurs devoirs, moyennant rétribution. 5 € le problème de maths, 10 € le plan détaillé de dissertation d'histoire, et jusqu'à 80 € l'exposé complexe comprenant une dizaine de pages... Le concept avait provoqué une vive polémique. Le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, s'était notamment déclaré hostile à cette formule : "Le meilleur endroit pour être éduqué et pour avoir des copies corrigées, c'est l'école de la République, je n'encourage nullement des dispositifs payants qui permettent de rendre ces services-là".
"Je n'ai reçu aucun coup de fil" affirme aujourd'hui Stéphane Boukris, qui se défend mollement d'avoir subi une quelconque pression. "Je ne peux pas poursuivre dans cette voie, c'est tout", indique-t-il simplement. Selon lui, le projet a intéressé de grosses entreprises et "il pourrait voir le jour sous une autre forme". Et de conclure : "A moins qu'un petit malin moins scrupuleux que moi ne relance la formule telle quelle..."
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La rédaction de LE FIGARO.fr Flash Actu netconnaissances.fr.gd
Il y a précisément vingt ans, un chercheur britannique en physique, Tim Berners-Lee, présente à ses collègues du CERN (Conseil européen pour la recherche nucléaire) une ébauche de projet visant à lier les liens hypertext à Internet, alors embryonnaire : il décide d'appeler ce système Mesh. Mais c'est sous l'appellation WorldWide Web que son concept sera appliqué un an plus tard.
Développé d'abord sur les ordinateurs NeXT du CERN, ce système vise à lier entre elles les différentes informations recueillies par les chercheurs. Physicien de formation, Tim Berners-Lee s'attachera les services de Robert Cailliau, un ingénieur système du Cern pour développer un navigateur apte à naviguer entre les différents ordinateurs reliés via les liens hypertext.
Le premier site que ces deux précurseurs créent est bien évidemment celui du CERN à l'adresse suivante, une page qui n'existe plus aujourd'hui.
En 1993, mise au point du premier navigateur web graphique
A partir de 1991, d'autres serveurs commencent à émerger dans d'autres institutions scientifiques en Europe mais aussi aux Etats-Unis, tel celui du SLAC (Stanford Linear Accelerator Center). Fin 1992, on comptait 26 serveurs web dans le monde et 200 moins d'un an plus tard. Toujours en 1993, le National Centre for Supercomputing Applications (NCSA) de l'université de l'Illinois mettait au point Mosaic, le premier navigateur web graphique, ancêtre d'Internet Explorer, de Netscape et de Firefox.
Quant à Tim Berners-Lee, après avoir été considéré par le gouvernement allemand comme l'un des plus importants savants du XXe siècle, à côté d'Albert Einstein, il est aujourd'hui le directeur du W3C. Il a reçu des mains de la reine d'Angleterre l'Ordre du mérite (seconde décoration la plus importante du Royaume-Uni) et continue ses recherches au sein du MIT (Massachusetts Institute of Technology) aux Etats Unis.
Nos amples remerciements à : La rédaction de nouvel
BObs.com
en temps réel netconnaissances.fr.gd
Microsoft a annoncé jeudi 12 mars la fin de son outil de mesure d'audience Web, moins d'un an après son lancement. Sur le blog du service, un message explique que adCenter Analytics, toujours en version bêta, a permis à Microsoft de comprendre qu'il valait mieux travailler à une solution "répondant à des besoins plus précis". Le service, basé sur la technologie de DeepMetrix, une société canadienne rachetée en 2006, s'arrêtera définitivement le 31 décembre 2009. Les utilisateurs actuels sont invités à utiliser l'un des nombreux concurrents de adCenter Analytics. Microsoft en donne la liste sur son blog, avec notamment les outils de Google et de Yahoo, qui a lancé son propre service en octobre 2008 (Yahoo finalise son outil de mesure d'audience en temps réel, du 10/10/08).
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La rédaction de JDN Journal Du Net netconnaissances.fr.gd
..D'autre extraits du web seront prochainement publiés sur cette page alors n'oubliez pas d'y revenir
La fondation Stanton a fait un chèque de 890 000$ à la fondation Wikimedia, la fondation des Wikipedia.
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